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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 07:48
Acier, bois, verre et granit ornent les 16 000 m2 du Campus ESC  à Troyes

Acier, bois, verre et granit ornent les 16 000 m2 du Campus ESC à Troyes

Au cœur de la Champagne, à 140 km de Paris, Troyes conserve un patrimoine remarquable. Son centre historique, surnommé le « Bouchon de Champagne » en raison de sa silhouette vue du ciel, recèle une quantité impressionnante de trésors artistiques et architecturaux. Troyes et son agglomération comptent près de 10 000 étudiants.

C’est le 10 octobre dernier que l’extension du Groupe ESC Troyes a été inaugurée en présence de 500 personnes, un complexe qui comprend donc une École Supérieure de Commerce, une École Supérieure de Design, une École de la 2e Chance, et propose de nombreuses formations, notamment dans les domaines du management, de la santé et du social. Implanté à Troyes, le Groupe ESC Troyes est passé de 300 étudiants à près de 1 800 depuis sa création en 1992.

Acier, bois, verre et granit

Afin d’accueillir les étudiants dans des conditions optimales, le Groupe ESC Troyes vient de connaître une belle métamorphose. Une extension de 8 000 m2, alliant bois, verre et granit, a été créée.

Le Groupe ESC Troyes s’étend ainsi, depuis la rentrée 2014-2015, sur près de 16 000 m2, contre 7 700 auparavant. Ces travaux d’extension se sont déroulés d’avril 2013 à l’été dernier. Laissant une grande place à la lumière et à l’espace, ce bâtiment s’articule, sur deux étages, autour d’une voie intérieure de 130 m de long et de 1 200 m2, qui relie l’ancienne bâtisse à la nouvelle. Cet écrin, offre un visage résolument moderne tout en intégrant plusieurs « clins d’œil » au patrimoine architectural troyen.

Ainsi, à la façon d’un vitrail contemporain - sur les 9 000 m2 de vitraux dans l’Aube, Troyes en compte 4 500 m2 – une verrière sérigraphiée de près de 1 000 m2 rappelle les variations de lumière des nombreuses églises troyennes.

La géométrie de la toiture évoque, quant à elle, les sheds des anciennes usines textiles, indissociables de l’histoire et de la mémoire de Troyes, capitale historique de la bonneterie et berceau de diverses marques (Petit Bateau, Lacoste, Zadig et Voltaire, DIM, etc.)

« Le luxe, c’est l’espace »

Ce projet architectural a été mené sous maîtrise d’ouvrage de la Communauté d’Agglomération du Grand Troyes et sous maîtrise d’œuvre du groupement SCAU/Peiffer-Freycenon-Rossit/3ia. Coût de l’opération : 30 millions d’euros, cofinancés par le Grand Troyes, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Troyes et de l’Aube, le Département de l’Aube et la Région Champagne-Ardenne. François Peiffer, l’un des trois architectes de ce projet d’envergure, en parle en ces termes : « Le luxe, c’est l’espace. Nous espérons que cette réalisation confirme que l’architecte est un magicien de l’espace... ».

© Carole Bell/Ville de Troyes

© Carole Bell/Ville de Troyes

Le confort

Dans cette construction, si la recherche esthétique paraît évidente rien n’a été laissé au hasard quant à la dimension durable et le bien-être des usagers. Les dispositifs ont été choisis pour favoriser les économies d’énergie et assurer un confort optimal. Le chantier lui-même s’est déroulé dans le respect de l’environnement : tri des déchets ; réduction des nuisances acoustiques et visuelles ; limitation des pollutions, etc.

Un livret expliquant la conception de ce bâtiment certifié « Haute Qualité Environnementale » a été réalisé à destination des usagers du Groupe ESC Troyes. Mis à leur disposition au sein de l’établissement, ce document a pour but de les impliquer dans le bon fonctionnement du site, en recensant différents éco-gestes et caractéristiques techniques.

Un site toujours plus spacieux

D’ici septembre 2015, près de 900 m2 supplémentaires seront aménagés, dans la continuité de l’extension, et accueilleront notamment une salle d’examen de 300 m2.

© Carole Bell/Ville de Troyes

© Carole Bell/Ville de Troyes

Éclairage

· utilisation de Led

· détecteurs de mouvements

Ventilation

· ventilation mécanique avec récupération de chaleur

· équipements techniques en toiture pour limiter les nuisances sonores

Conception bioclimatique

· chauffage passif grâce aux apports solaires

· isolation performante

Protection solaire

· verrière évitant les effets d’éblouissement et apports de chaleur indésirables

Confort thermique

· fraicheur emmagasinée la nuit

Confort visuel

· apport d’éclairage naturel optimal

Confort acoustique

· pièges à sons dans les systèmes de ventilation

Gestion de l’eau

· bassin d’infiltration pour récupérer les eaux pluviales

Gestion des déchets sur le site

· points de collecte à chaque étage

· instauration du tri

Qualité des matériaux

· caoutchouc naturel au sol, bardage bois sans traitement

Végétalisation maximale

· engazonnement des dalles du parking

· plantation d’arbres de haute tige

· patios végétalisés

Côté accessibilité

Accès PMR

· places de parking réservées

· cheminements adaptés avec repérages visuels et tactiles

· rampes d’accès et ascenseur

· sanitaires (dont douche) adaptés

Stationnement

· stationnement pour les véhicules propres avec bornes de recharge électrique

· zones couvertes réservées aux vélos (84 places au total)

© Carole Bell/Ville de Troyes

© Carole Bell/Ville de Troyes

Le Groupe ESC Troyes : « Mixer les cultures et ouvrir les futurs »

Le Groupe ESC Troyes est le premier établissement d’enseignement supérieur privé de Champagne-Ardenne. Il a pour maîtres-mots « innovation entrepreneuriale », « ouvertures sociale et sociétale », et « pluridisciplinarité ». Il compte près de 1 800 étudiants, dont 25% d’étrangers de 40 nationalités, répartis au sein de six programmes de formation initiale, de niveau bac à bac+5 :

- Programme Grande école (ESC)

- Management international (INBA)

- Management du tourisme (EMVOL)

- Management en innovation et entrepreneuriat (MSc. ICE)

- École Supérieure de Design

- Prépas santé-social

Le Groupe ESC Troyes, c’est aussi un pôle de formations socio-professionnelles pour les jeunes sans qualification (École de la 2e Chance), de formation continue pour les entreprises (management, informatique, langues) et de l’accompagnement pour les cadres.

Plus d’infos sur www.get-formation.fr

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Published by LV_RM - dans Campus Troyes Bois structure Verre Pierre
12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 07:44
Nombreuses nouveautés à EQUIPBAIE 2014, du 18 au 21 novembre 2014 - Paris Porte de Versailles - Hall 1.

Nombreuses nouveautés à EQUIPBAIE 2014, du 18 au 21 novembre 2014 - Paris Porte de Versailles - Hall 1.

Plus que jamais reconnu en tant que Salon-Référence de la Fenêtre, de la Fermeture et de la Protection Solaire en France, EQUIPBAIE se déroulera cette année du 18 au 21 novembre 2014 à Paris Porte de Versailles - Hall 1.
Au fil de ses éditions, EQUIPBAIE s’est affirmé comme LE salon national de référence des professionnels de la Fenêtre, de la Fermeture et de la Protection Solaire, qui souhaitent se
positionner sur le marché Français.
Tous les 2 ans à Paris, c’est la plus grande vitrine de l’offre du marché qui expose tous les matériaux (aluminium, PVC, bois), permettant de couvrir tous les besoins, de la construction neuve à la rénovation. Un rendez-vous à ne pas manquer pour découvrir
les actualités et tendances du secteur.
320 exposants sont d’ores et déjà attendus pour cet événement tourné vers l’innovation, la rénovation & la performance énergétique, la gestion des apports solaires, ainsi que le déploiement des solutions intelligentes et connectées, sans oublier les enjeux liés à l’accessibilité et la place des réseaux.
Le salon METALEXPO qui présente la filière Métal dans la construction, créé et organisé sous l’égide de l’Union des Métalliers, se tient conjointement dans le même hall qu’EQUIPBAIE et réunira 40 exposants.
Des exposants fidèles pour un visitorat de qualité :

Rendez-vous majeur pour les acteurs professionnels de la fenêtre, fermeture et protection solaire, EQUIPBAIE est un salon de rencontre et d’échanges. C’est aussi l’occasion de découvrir l’ensemble des nouveautés du secteur, ses évolutions techniques, réglementaires et sectorielles mais également de percevoir les meilleures offres d’équipements, conciliant esthétique et performances techniques.
EQUIPBAIE proposera, en complément aux grands secteurs de la menuiserie et de la fermeture, un secteur dédié à la Protection Solaire dont l’efficacité n’est plus à démontrer, portée par l’amélioration des performances imposées par la RT 2012.

Rappelons que l’édition 2012 avait accueilli 20.000 visiteurs. L’objectif de 23.000 visiteurs devrait pouvoir être atteint grâce à la nouvelle stratégie du salon qui privilégie encore plus la mise en avant des innovations et le développement significatif de la dimension Information/Formation et de l’apport Conseil d’EQUIPBAIE, visant la satisfaction totale des attentes exposants et visiteurs.

L’innovation et les produits nouveaux : la marque de fabrique du salon EQUIPBAIE
Une promesse salon que l’équipe d’EQUIPBAIE confirme avec la mise en valeur, dès l’entrée du salon, des innovations et produits nouveaux conçus par les industriels du secteur, regroupés dans un espace « INNOVATION » offrant ainsi une identification immédiate aux visiteurs. Véritable succès de l’édition 2012, cet espace accueillera cette année en son cœur, le palmarès des 10 produits les plus performants.
Une initiative qui devrait être très appréciée des visiteurs si l’on considère que 96 % d’entre eux viennent au salon pour découvrir ces dernières.
• Les fenêtres au cœur de l’efficacité énergétique :
58% des visiteurs qui se rendent sur EQUIPBAIE attendent des réponses concrètes sur les innovations liées à la performance énergétique des fenêtres ; sujet majeur au cœur de la RT 2012 avec, en fil conducteur, l’optimisation de l’Efficacité Energétique. Cette recherche d’efficacité énergétique des bâtiments passe notamment par une construction efficace en termes d’isolation, de conception, de matériaux et de systèmes de gestion, mais aussi et avant tout par la pose de fenêtres performantes.
EQUIPBAIE, le salon de la relation gagnant/gagnant
L’une des motivations principales révélées par l’enquête SESA Marketing est, en plus de la découverte des nouveautés, d’acquérir de la formation, de l’information pour renforcer sa compétence professionnelle et développer son business. Une autre raison majeure de venir au salon.

Dans cette stratégie d’accompagnement, inédit dans les salons du bâtiment, EQUIPBAIE 2014 crée le FORUM TECHNIQUE et le FORUM CONSEIL.
- Au sein du Forum Technique : plusieurs sessions longues durées de formations et de
démonstrations tenues par des industriels exposants avec leurs techniciens et un
menuisier/installateur.
- Au sein du Forum Conseil : plusieurs sessions courtes nommées « Les 10 règles pour », axées sur des opportunités de développement du CA, permettront de répondre aux attentes fortes des visiteurs. Ce Forum sera complété par des conférences classiques où sera accordée une place importante au contexte réglementaire (RGE, TVA, RT 2012, …), aux évolutions techniques majeures, à la politique d’aides gouvernementale, à la certification et aux labels, dans lesquels interviendront des acteurs-clés.
Une démarche proactive si l’on considère que 65% des visiteurs du marché de la Fenêtre, de la Fermeture et de la Protection Solaire attendent d’EQUIPBAIE une offre large et complète qui leur permettra au cours de leur visite d’appréhender tout le marché lié à ce secteur.
A noter dans vos agendas :
- 1ère Conférence de presse « Spéciale Rénovation », le 30 avril 2014
- 2ème Conférence de presse « Innovations/Produits nouveaux présentés sur le salon », le
11 septembre 2014
La liste des exposants et toutes les informations utiles sont consultables sur les sites
www.equipbaie.com et www.metalexpo.com

FORUM TECHNIQUE : 6 sessions de 2h mixant formation technique et démonstrations sur des sujets d’actualité, tenues par des industriels exposants avec leurs techniciens et un menuisier/installateur utilisant les produits de l’industriel afin d’apporter un retour d’expérience. En fin de session, un document récapitulatif sera remis.

FORUM CONSEIL : Sessions de 30mn pour faire un point rapide sur des opportunités de développement du CA et la gestion de l’entreprise, couplées avec des rencontres en « one-to-one ». Ces mini-conférences et rendez-vous privés seront donnés par des institutionnels et des experts reconnus.

Infos pratiques :

Dates, horaires, lieux

Dates et horaires

Du mardi 18 au vendredi 21 novembre 2014 :

- Mardi 18 et mercredi 19 novembre : de 9h00 à 18h00
- Jeudi 20 novembre : de 9h00 à 19h00
- Vendredi 21 novembre : de 9h00 à 17h00

Lieux

Paris Porte de Versailles hall 1

Paris expo Porte de Versailles
1, place de la Porte de Versailles
75015 Paris

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 07:00
13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

Le PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL 2014, lancé en février dernier, vient de dévoiler ses 9 réalisations primées. Espaces de culture et de loisirs, centre hospitalier, lieu d’entreprise, logements sociaux, maisons individuelles... La diversité des types et des styles de bâtiments démontre la place des profilés aluminium dans l’architecture contemporaine. Elle illustre également le savoir-faire de TECHNAL, qui propose des menuiseries sur-mesure, design, de performances thermiques et acoustiques.

Ce concours met une nouvelle fois à l’honneur la créativité des architectes et leur partenariat durable avec les ALUMINIERS AGRÉÉS TECHNAL (AAT). En adéquation avec les valeurs de la marque, les projets se distinguent par une écriture originale, l’innovation des solutions, la prise en compte du confort de l’occupant et l’intégration harmonieuse au site. Ils ont été récompensés selon 7 catégories :

ÉTUDIER - PRIX :

ESPACE CLÉMENT ADER, TOULOUSE (31)

AGENCE D’ARCHITECTURE SÉQUENCES (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL RÉALCO (31)

HABITER LOGEMENTS COLLECTIFS - PRIX :

LOGEMENTS SOCIAUX MAÏMAT, MURET (31)

PUIG PUJOL ARCHITECTURES (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL GAYREL (81)

MENTION :

LOGEMENTS SOCIAUX, GRANDE-SYNTHE (59)

PHILIPPE DUBUS ARCHITECTE (75)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL FRANCE VERRE (59)

HABITER LOGEMENT INDIVIDUEL - PRIX :

MAISON INDIVIDUELLE NB, MONTFERRIER-SUR-LEZ (34)

ELODIE NOURRIGAT ET JACQUES BRION ARCHITECTES (34)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL ESTIVALES (13)

MENTION :

MAISON INDIVIDUELLE, WASQUEHAL (59)

RIVA ARCHITECTES (59)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL CONSTRU (59)

RÉHABILITER - PRIX :

CENTRE HOSPITALIER, BRIVE-LA-GAILLARDE (19)

ESPAGNO MILANI ARCHITECTES (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL MANIÈRE ET MAS (19)

S’AMUSER - PRIX :

SALLE DE MUSIQUE METRONUM, TOULOUSE (31)

GGR ARCHITECTES (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL LABASTÈRE (31)

TRAVAILLER - PRIX :

CENTRE DE CALCUL ET BUREAUX CLS, RAMONVILLE-SAINT-AGNE (31)

GGR ARCHITECTES (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL LABASTÈRE (31)

PRIX TECHNAL DU JURY :

MAISON INDIVIDUELLE, DOMMERY (08)

AGENCE D’ARCHITECTURE ERIC LENOIR (08)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL FRECHIN (08)

Clin d’œil aux architectes, TECHNAL a remis ses prix lors des 24H D’ARCHITECTURE*, le vendredi 17 octobre à Marseille. Ils ont été récompensés d’un voyage architectural et d’une valorisation de leur réalisation autour d’une communication nationale, régionale et locale. Leur projet est également publié dans un ouvrage, diffusé en France à 2 000 exemplaires.

UN JURY D’EXPERTS

Cette nouvelle édition, présidée par l’architecte français ALAIN MOATTI, se distingue par la complémentarité de son Jury de 5 experts (architectes, économiste et maître d’ouvrage). La qualité des 66 projets, tant sur le plan architectural que technique, a permis au Jury de décerner 9 prix dans 7 catégories. Il s’est appuyé sur 4 critères fondamentaux qui constituent l’ADN de la marque :

_ LE CONFORT DES OCCUPANTS : la luminosité naturelle, le thermique, l’acoustique, l’ergonomie et la fonctionnalité,

_ L’INTÉGRATION AU SITE : l’impact du projet au niveau de l’environnement, de l’urbanisme, de la topographie, du climat et de l’intégration sociale,

_ L’INNOVATION : les performances, l’enveloppe, les équipements et la pérennité,

_ L’EXPRESSION ARCHITECTURALE : l’originalité de chaque ouvrage et l’émotion suscitée

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

PRIX ÉTUDIER :

Espace Clément Ader, Toulouse (31)

Agence d’architecture : SÉQUENCES (31)

Maître d’ouvrage : UNIVERSITÉ DE TOULOUSE (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : RÉALCO (31)

Surface et produit TECHNAL : 1 300 m2 de murs-rideaux GÉODE 830 m2 de fenêtres SOLEAL

Livraison du bâtiment : Octobre 2013

Durée du chantier : 18 mois

UN SITE FÉDÉRATEUR POUR LA RECHERCHE AÉRONAUTIQUE ET SPATIALE

L’Espace Clément Ader signe la naissance du programme Montaudran-Aerospace, qui accueillera à la fois un campus universitaire, une plateforme de recherche, des quartiers résidentiels, des espaces de loisirs et de promenades. Il a pour objectifs de mutualiser un outil de travail et de fédérer plusieurs établissements et équipes dans un bâtiment unique, appelé à devenir un site de recherche aéronautique et spatiale à l’échelle européenne. Il regroupera ainsi 5 entités complémentaires : l’Institut Clément Ader (ICA), le CERMAC (Centre d’Expertise et de Ressources en Matériaux et Composites), une plateforme de micro-caractérisation des matériaux, une plateforme de calcul intensif, le siège du RTRA STAE (Réseau Thématique de Recherche Avancée - Sciences et Technologies pour l’Aéronautique et l’Espace).

Pour cet espace de 13800 m2, l’agence SÉQUENCES a souhaité symboliser l’unité intégrative à travers une écriture architecturale épurée, identitaire et fonctionnelle. Le bâtiment parallélépipède est une masse qui se découpe et s’évide pour révéler les différents volumes. Il est sublimé par une façade tournante qui joue avec la verticalité des brise-soleil en bois, et l’horizontalité du béton clair matricé, et du jaune vif identifiant la chair intérieure et l’espace d’accueil. Cette enveloppe assure la lisibilité de l’ouvrage sur ses cinq côtés, révèle les grandes fonctionnalités, et affirme, sans ostentation, sa présence sur le site.

À l’intérieur de cette façade SOLEAL et 1 300 m2 de murs-rideaux GÉODE toute hauteur. Ils se distinguent par la finesse de leurs montants et de leurs traverses qui contribuent à l’apport de lumière naturelle. Conjugués aux brise-soleil en bois, ils créent du rythme et limitent les apports de chaleur l’été. Ils permettent de la conserver l’hiver, optimisant le confort des occupants. Afin de garantir l’accès rapide des pompiers, le service prescription TECHNAL a imaginé des menuiseries qui s’ouvrent depuis l’extérieur et capables de supporter le poids des brise-soleil fixés sur les profilés. Ces solutions robustes sur-mesure mettent en lumière le partenariat étroit entre la marque et l’agence d’architecture.

La juxtaposition des différentes activités (mécanique, calcul intensif et microscopie) constituait l’un des enjeux majeurs de cette construction. Il a fallu notamment renforcer la structure pour limiter les impacts mécaniques et électromagnétiques sur les locaux hébergeant les microscopes. La plateforme de calcul intensif, constituée d’une salle informatique d’une capacité de 2 mégawatts (évolutive à 3,7 mégawatts), nécessitait une puissance de refroidissement génératrice de calories. L’agence SÉQUENCE a mis en place un système de récupération de cette énergie qui permet de chauffer le bâtiment et d’alimenter une boucle d’eau tempérée dédiée à la future ZAC. Cette restitution couvre environ 20 % des besoins de la zone, soit 80 000 m2 de bureaux.

© TECHNAL ARCHITECTE : SÉQUENCES PHOTOGRAPHE : SYLVAIN MILLE

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

PRIX HABITER LOGEMENTS COLLECTIFS :

Logements sociaux Maïmat, Muret (31)

Agence d’architecture : PUIG PUJOL ARCHITECTURES (31)

Maître d’ouvrage : PROMOLOGIS (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : GAYREL (81)

Surface et produits TECHNAL : 1000m2 de coulissants LUMEAL, de châssis à frappe SOLEAL et de volets NOTEAL

Livraison du projet : Mars 2014

Durée du chantier : 36 mois

UN VILLAGE DANS LA VILLE

Attachée à redynamiser le quartier, la Ville de Muret a initié un projet de renouvellement urbain, en étroite collaboration avec le maître d’ouvrage PROMOLOGIS et le maître d’œuvre PUIG PUJOL ARCHITECTURES. Cette ambition a inspiré l’architecte JEAN-MANUEL PUIG qui a pensé et conçu un programme à dimension humaine. Faciliter le lien social en proposant des espaces communs, créer de l’animation avec des commerces de proximité et des services, repenser un axe de passage quotidien en parc traversant et ouvert sur la ville..., sont autant de défis qu’il a souhaité relever.

Les 7 volumes consistent en des plots compacts et denses (R+6 à R+8). Leur rigueur constructive, lisible à travers les parois en béton préfabriqué, est rythmée de loggias privatives en bois (9 m2), réparties en quinconce. Cette animation aléatoire souligne l’écriture architecturale des bâtiments. Conjuguées aux 142 coulissants LUMEAL deux vantaux et toute hauteur (L. 2,70 x H. 2,50 m), ces «boîtes suspendues» favorisent la création d’un dialogue entre intérieur et extérieur. Construits dans un esprit d’habitat traversant et lumineux, les appartements possèdent de multiples châssis à frappe SOLEAL 1 vantail (L. 1,20 x H. 1,30 m). Ils améliorent le cadre de vie des résidents grâce à la finesse de leurs profilés et à leur facteur solaire Sw = 0,60.

Le système de répétitivité des menuiseries contribue à la rationalisation des coûts. Inscrite dans une logique économique, cette volonté de standardisation à laquelle TECHNAL a répondu, a permis d’équiper les logements avec des solutions de haute technicité. Les ouvertures répondent également à la RT 2012 et aux Bâtiments Basse Consommation grâce à leurs performances thermiques élevées (Uw LUMEAL = 1,6 W/m2.K ; Uw SOLEAL = 1,8 W/m2.K). L’accessibilité est privilégiée avec un seuil PMR intégré aux coulissants.

36 mois

Débuté en 2011, le chantier Maïmat a fait l’objet d’une «opération tiroir», consistant en une démolition/reconstruction avec le relogement des habitants pris en charge par PROMOLOGIS. Dans une démarche environnementale et économique, des matériaux issus du site ont été valorisés et réutilisés : béton concassé recyclé pour les sols piétons, garde-corps métalliques du centre commercial clôturant les îlots végétalisés... Sélectionnés et mis en œuvre pour leur aspect brut et leur facilité d’entretien, le béton et le bois habillent les sept nouveaux bâtiments. Les espaces extérieurs ont été imaginés afin d’offrir aux habitants un «village dans la ville» ! Le nouveau quartier est fédéré autour d’un parc paysagé public, réalisé de concert avec la paysagiste EMMA BLANC.

© TECHNAL ARCHITECTE : JEAN-MANUEL PUIG PHOTOGRAPHE : PHILIPPE RUAULT

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

MENTION HABITER LOGEMENTS COLLECTIFS :

Logements sociaux, Grande-Synthe (59)

Agence d’architecture : PHILIPPE DUBUS ARCHITECTE (75)

Maîtres d’ouvrage : IMMOBILIÈRE NORD ARTOIS - 3F et VILLE DE GRANDE-SYNTHE (59)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : FRANCE VERRE (59)

Surface et produits TECHNAL : 820 m2 de châssis fixes et ouvrants SOLEAL 380 m2 de volets coulissants sur-mesure

Livraison du bâtiment : Novembre 2013

Durée du chantier : 16 mois

DES LOGEMENTS COLLECTIFS BBC EN SYMBIOSE AVEC LE PAYSAGE

Ce projet de 57 logements sociaux s’inscrit dans l’opération de renouvellement urbain du quartier du Courghain, dans la banlieue Ouest de Dunkerque (59). Son organisation et sa conception concrétisent les ambitions urbaines, architecturales et environnementales d’Immobilière Nord Artois - 3F et de la Ville de Grande-Synthe. Situé à l’articulation de la place commerciale et du «Watergang» (petit canal à la hollandaise), il révèle le paysage et la présence de l’eau sous différentes formes (canaux, berges, bassins...).

L’expression architecturale et le choix de matériaux nobles offrent un statut de qualité à ces logements sociaux. Étirés, les 3 bâtiments épousent les limites de la parcelle et cadrent une «prairie intérieure» : un R+4 de 27 logements le long du canal, un plot R+4 de 12 appartements sur la place et un îlot R+3 de 18 logements refermant le jardin au nord. Leurs façades sont composées de panneaux d’aluminium anodisé et leurs pignons protégés par un bardage en latte de mélèze de teinte gris argenté. Ces matières, mariées harmonieusement aux châssis SOLEAL et aux volets coulissants sur-mesure, ont permis d’obtenir la labellisation BBC.

Ces systèmes d’occultations sont intégrés dans l’épaisseur de l’enveloppe. Ils assurent la régulation des apports de chaleur et de luminosité selon les saisons. Ils animent également la façade qui se transforme selon les besoins et permet de réaliser des économies d’énergie.

Chaque habitation traversante est constituée d’un séjour orienté vers le cœur d’îlot et le canal. Elle se prolonge sur le paysage par un «balcon héroïque» greffé sur la façade. Conjugué aux menuiseries toute hauteur SOLEAL en aluminium anodisé (châssis fixe L. 2 x H. 2,40 m et ouvrant L. 1 x H. 2,40 m), il crée un dialogue permanent entre intérieur et extérieur et baigne de lumière naturelle les appartements.

© TECHNAL ARCHITECTE : PHILIPPE DUBUS ARCHITECTE PHOTOGRAPHE : PHILIPPE DUBUS

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

PRIX HABITER LOGEMENT INDIVIDUEL :

Maison individuelle NB, Montferrier-sur-Lez (34)

Agence d’architecture : ELODIE NOURRIGAT ET JACQUES BRION ARCHITECTES (34)

Maître d’ouvrage : PRIVÉ (34)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : ESTIVALES (13)

Surface et produits TECHNAL : 75 m2 de fenêtres et baies coulissantes SOLEAL

Livraison du projet : Mai 2013

Durée du chantier : 18 mois

UNE BULLE SUSPENDUE DANS LE PAYSAGE

Cette villa de 170 m2 est construite dans une pinède, sur les vestiges d’un volcan éteint, à la forte déclivité. Son emplacement singulier s’est traduit par un travail spécifique et technique en amont, lui permettant d’embrasser le paysage qui donne sur l’horizon et la mer. Deux axes ont marqué les choix de prise de site d’ELODIE NOURRIGAT ET JACQUES BRION ARCHITECTES :

- l’accompagnement de la pente, en travaillant sur la mise en place de niveaux réguliers. Un cheminement est créé grâce à des plaques d’acier corten, telles des restanques, et conduit jusqu’à l’entrée de la maison,

- les séquences pour parti pris architectural. Plutôt que de dévoiler l’intégralité du paysage environnant, la villa se lit comme un scénario où chaque programme invite à une nouvelle découverte.

Cette maison, à l’écriture épurée, est un petit urbanisme où chaque volume est une fonction et chaque terrasse une place. Trois corps bâtis ondulent dans la pente et s’étirent en surplomb, comme élancés dans le paysage :

- l’un en porte-à-faux en rapport direct avec les arbres et accueillant une cuisine et un salon,

- l’entre-deux «planté» dans la terre qui abrite la chambre, un bureau et une bibliothèque,

- le dernier en osmose avec le paysage et composé d’un dressing, d’une salle de bain et d’une chambre.

Orientés Sud et reliés par une entité simple et rectiligne, ils s’ouvrent sur une terrasse grâce à 9 m2 d’ouvrants à la française et 7 m2 de baies coulissantes SOLEAL. Ces menuiseries, conjuguant finesse des profilés et couleur claire en aluminium anodisé, procurent une sensation de transparence. La maison est emplie de lumière et se fond dans l’extérieur telle une bulle suspendue dans le paysage.

Afin de profiter de la vue sans créer d’effet de surchauffe, un travail sur la mise en épaisseur des extrémités a été réalisé pour intégrer des terrasses. Elles sont équipées de larges ensembles menuisés, composés d’ouvrants à la française (de 2,50 m à 4,50 m de large et jusqu’à 3 m de hauteur), et protégés par des brise-soleil en bois qui s’ouvrent totalement à l’aide d’un système de rotation sur pivot.

© TECHNAL ARCHITECTES : ELODIE NOURRIGAT ET JACQUES BRION PHOTOGRAPHE : PAUL KOZLOWSKI

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

MENTION HABITER LOGEMENT INDIVIDUEL :

Maison individuelle, Wasquehal (59)

Agence d’architecture : RIVA ARCHITECTES (59)

Maître d’ouvrage : PRIVÉ (59)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : CONSTRU (59)

Surface et produits TECHNAL : 65 m2 de fenêtres SOLEAL 45 m2 de baies coulissantes SOLEAL et GALÈNE

Livraison du projet : Septembre 2009

Durée du chantier : 6 mois

MARIAGE SUBTIL D’ALUMINIUM, DE ZINC ET DE BOIS

Cette maison individuelle est implantée sur un terrain «vierge» à Wasquehal, amené à devenir une zone d’activité composée de programme de bureaux, logements collectifs sociaux et logements individuels. Un véritable défi pour l’agence RIVA ARCHITECTES qui l’a conçue en se projetant et en anticipant les constructions avoisinantes. Sobre et rectiligne, ce volume généreux en forme de «Z» marie avec justesse le zinc, le bois et l’aluminium. Il protège les habitants depuis la rue grâce à un écrin de bardeaux en chêne massif, et offre un espace de détente côté jardin avec 3 pans de façades vitrées sur le séjour (Sud, Ouest et Est). Un parti pris de l’architecte qui a souhaité concilier ouverture maximale sur les espaces extérieurs et préservation de l’intimité face aux futurs bâtiments.

Les menuiseries TECHNAL mises en œuvre, qui représentent plus de 50 % des surfaces des murs, constituent donc l’enveloppe principale de cet habitat de 225 m2 :

- côté Est en rez-de-chaussée, une baie coulissante toute hauteur GALÈNE L. 9 m x h. 2,50 m et des fenêtres SOLEAL,

- en façades Nord et Sud, 20 m2 de coulissants et de fenêtres SOLEAL,

- côté Ouest, 24 m2 de baies coulissantes SOLEAL aux extrémités des circulations des chambres à l’étage et 27 m2 de châssis SOLEAL.

Ces ouvertures en aluminium ont été retenues pour leurs lignes carrées et la finesse de leurs profilés qui réduit les masses visibles. Elles offrent à la fois une esthétique design et une lumière naturelle optimale. L’hiver, elles captent les apports de chaleur et limitent le recours au chauffage, contribuant ainsi à l’obtention du niveau de performance BBC.

À l’étage, les menuiseries oscillo-battantes sont orientées à l’Ouest, face aux vents dominants, afin de contribuer à la ventilation naturelle du bâti. Plein Sud, elles sont protégées des rayons solaires par des auvents ou des stores extérieurs. Les pièces de nuit s’orientent à l’Est et sont munies de stores intérieurs. Elles sont volontairement «aveugles» au Nord pour assurer les performances thermiques et au Sud pour empêcher la vue sur le centre commercial.

La maison possède également une isolation performante, une étanchéité à l’air grâce à une membrane PVC, un chauffage basse température, une chaudière à condensation, une VMC double flux et un chauffage d’appoint au bois.

© TECHNAL ARCHITECTE : RIVA ARCHITECTES PHOTOGRAPHE : ANTHONY VIENNE

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

PRIX RÉHABILITER :

Centre Hospitalier, Brive-la-Gaillarde (19)

Agence d’architecture : ESPAGNO MILANI ARCHITECTES (31)

Maître d’ouvrage : CENTRE HOSPITALIER DE BRIVE-LA-GAILLARDE (19)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : MANIÈRE ET MAS (19)

Surface et produits TECHNAL : 5 700 m2 de murs-rideaux GÉODE 2 500 ml de brise-soleil, avec création d’un profilé spécifique en aluminium

Livraison du projet : Octobre 2014

Durée du chantier : 24 mois

UN ÉTABLISSEMENT QUI ÉVOLUE, UNE VIE QUI CONTINUE

Construite dans les années 1970, l’unité médico-chirurgicale qui occupe l’artère principale du Centre Hospitalier, fait «peau neuve». Au cœur de ce chantier d’envergure, nécessitant le maintien de l’activité hospitalière, la rénovation énergétique des façades Sud-Est et Sud-Ouest. Cet investissement prioritaire exigeait :

_ d’améliorer le confort des patients et du personnel, en conformité avec les normes du Grenelle de l’Environnement,

_ de garantir la sécurité de l’établissement, en assurant aux services de secours l’accessibilité aux 12 étages par l’extérieur.

L’agence ESPAGNO MILANI ARCHITECTES a entrepris ce chantier, dès novembre 2012, suite à la dépose des brise-soleil en béton intégrés à la façade.

Leur projet clé en main reposait sur la conception d’une façade double peau ventilée sur-mesure, avec :

_ 5 700 m2 de murs-rideaux GÉODE à trame horizontale 62 mm, revêtus par 3 types de vitrages (un clair et deux sérigraphiés),

_ 2 500 ml de brise-soleil avec la création d’un profilé spécifique en aluminium.

Cette rénovation, rare en France, consiste en la création d’un espace tampon ventilé entre la façade existante et le nouveau mur-rideau GÉODE. Cette lame d’air assure la régulation des apports thermiques pour le confort d’été comme d’hiver, et la maîtrise de la consommation d’énergie. Elle conserve la chaleur et permet de réduire de 25 % les déperditions énergétiques des locaux contigus.

Grâce à une mise en œuvre par étape, les occupants ont pu apprécier progressivement les bénéfices de cette nouvelle façade. Les vitrages filtrent la lumière et leur permettent de conserver les stores ouverts et de profiter de l’éclairage naturel. Au-delà du confort, les vitrages clairs et sérigraphiés dynamisent la façade par des jeux d’ombre et de lumière. D’une teinte neutre, ils reflètent les couleurs changeantes du ciel et donnent vie à cet écrin de verre.

© TECHNAL ARCHITECTE : ESPAGNO MILANI ARCHITECTES PHOTOGRAPHE : SYLVAIN MILLE

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

PRIX S’AMUSER :

Salle de musique Metronum, Toulouse (31)

Agence d’architecture : GGR ARCHITECTES (31)

Maître d’ouvrage : OPPIDEA SEM d'Aménagement de Toulouse Métropole (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : LABASTÈRE (31)

Surface et produits TECHNAL : 240 m2 de fenêtres SOLEAL 280 m2 de brise-soleil SUNEAL

Livraison du projet : Décembre 2013

Durée du chantier : 18 mois

UN FOYER ARTISTIQUE MYSTÉRIEUX À L’INTENSE VIE INTÉRIEURE

Implantée au cœur de Borderouge, la nouvelle salle de musique Metronum contribue à l’identité associative et culturelle de ce quartier récent de Toulouse. Elle est composée d’une salle de concert de 750 places, d’un espace de répétition de 200 places, de 3 studios d’enregistrement, de 6 salles dédiées aux associations musicales et d’une médiathèque de 50 m2. Imaginé comme un lieu de rencontres et de ressources du monde artistique local, ce bâtiment se définit comme une «tête de réseau» connectée à l’ensemble des salles de spectacles de la métropole.

Le postulat de départ posait l’utilisation d’une masse de béton et d’ouvertures limitées en façade extérieure afin de protéger du bruit les habitations environnantes. Ce parti pris a orienté l’écriture géométrique du bâtiment. Un parallélépipède qui ne se dévoile pas du premier coup d’œil, intriguant et suscitant la curiosité. Le visiteur y pénètre par des failles, des entrées qui l’emmènent vers l’intérieur à la découverte du patio. Largement ouvert, cet espace minéral où il fait bon vivre, rappelle l’architecture traditionnelle du sud.

Le patio s’habille d’une multitude de percements avec 150 m2 de fenêtres en rez-de-chaussée et au 1er étage. Ces menuiseries en aluminium se dotent de lignes design et minimalistes. Travaillées avec des entourages de baies en tôle dorée laquée, elles s’opposent à l’enveloppe brute de l’édifice. Elles intègrent également un triple vitrage pour assurer l’isolation phonique. Côté sud, les ouvertures se parent de brise-soleil verticaux SUNEAL aux lames laquées noires. La conjugaison de ces solutions optimise le confort des occupants. Elles régulent les apports solaires et la ventilation, et réduisent les besoins en chauffage. Au niveau des circulations, des claustras en béton percés jouent le rôle de brise-soleil et animent la façade intérieure.

© TECHNAL ARCHITECTE : GGR ARCHITECTES PHOTOGRAPHE : THIERRY SCHNEIDER

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

PRIX TRAVAILLER :

Centre de calcul et bureaux CLS, Ramonville-Saint-Agne (31)

Agence d’architecture : GGR ARCHITECTES (31)

Maître d’ouvrage : Société Collecte Localisation Satellites (CLS) (31)

ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL : LABASTÈRE (31)

Surface et produits TECHNAL : 1 100 m2 de fenêtres SOLEAL 850 m2 de brise-soleil SUNEAL

Livraison du projet : 2012

Durée du chantier : 24 mois

UNE GÉOMÉTRIE PRÉCISE

L’agence GGR ARCHITECTES a relevé le défi de construire un bâtiment répondant aux besoins spécifiques du maître d’ouvrage : sécurisation de son activité satellitaire et performances énergétiques. Pour ce projet, le maître d’œuvre a imaginé un volume en «U» de 4 800 m2, qui vient compléter l’implantation de CLS dans cette zone d’activité tertiaire de Toulouse. Composé d’un data center, d’une salle d’opération, d’un amphithéâtre de 200 places, d’un accueil, d’une agora et de bureaux sur 3 étages, il constitue la nouvelle vitrine de la société.

L’architecture massive et sculpturale est un «contrepied» aux immeubles de bureaux traditionnels en verre des alentours. L’effet recherché est la découverte progressive tout au long des parcours. La peau extérieure en brique blanche et les brise-soleil verticaux SUNEAL, situés sur les façades des bureaux, constituent une protection à la fois solaire et visuelle de l’ensemble. Laqués blancs, ces systèmes d’occultations s’harmonisent à l’enveloppe extérieure, et accentuent la lecture linéaire et discrète.

Ces solutions, conjuguées aux 250 m2 de fenêtres filantes SOLEAL, favorisent l’inertie du bâtiment. Elles permettent d’emmagasiner la chaleur et de la restituer de manière diffuse. Elles régulent également les apports solaires et la ventilation, limitant le recours à la climatisation.

Grâce à 850 m2 de menuiseries SOLEAL, le cœur du bâtiment s’ouvre sur une large terrasse et emplit de lumière la cafétéria. Les tonalités vives et la présence continue du bois dans les aménagements intérieurs révèlent une architecture contemporaine en accord avec l’environnement.

© TECHNAL ARCHITECTE : GGR ARCHITECTES PHOTOGRAPHE : PIERRE-YVES BRUNAUD

13ÈME PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL : L’ALUMINIUM, ÉLOGE DE L’ARCHITECTURE

PRIX TECHNAL DU JURY

Maison individuelle, Dommery (08)

Agence d’architecture : ERIC LENOIR (08)

Maître d’ouvrage : PRIVÉ (08)

Aluminier Agréé TECHNAL : FRECHIN (08)

Surface et produits TECHNAL : 100 m2 de murs-rideaux GÉODE et de fenêtres SOLEAL

Livraison du projet : Juin 2011

Durée du chantier : 9 mois

PLEINE LUMIÈRE SUR L’ALUMINIUM

Dans un contexte rural où cohabitent d’anciennes granges, des fermes et des pavillons résidentiels, cette habitation posée sur pilotis, surplombe une plaine de bosquets et de pâturages. Le programme prévoit une maison de 110 m2 et deux chambres d’hôtes indépendantes de 30 m2. À la recherche d’une expérience différente de l’acte d’habiter, le maître d’ouvrage s’est lancé aux côtés d’ERIC LENOIR, dans une aventure qui défie les lois de la construction traditionnelle. L’idée est d’adapter les principes de l’architecture navale à une maison terrestre, avec l’assemblage symétrique de huit coques. Réalisées dans un chantier au bord de la Loire, elles constituent le plancher et la toiture de ce volume monolithique qui révèle l'aluminium sous toutes ses formes : lisses, courbes, pliées, chaudronnées.

Les deux coques mises en œuvre sont reliées en périphérie par un mur-rideau GÉODE et des ouvrants à la française SOLEAL. Totalement transparente, la façade optimise les apports solaires et permet une vue panoramique sur le paysage :

- deux chambres à l’Est bénéficient de la lumière du levant,

- la cuisine, le salon et la salle à manger sont disposés le long de la façade Ouest pour profiter du couchant.

La forme légèrement surélevée du terrain a induit un positionnement en «bascule» sur la partie arrière qui vient renforcer cette vision à 360°. Le cloisonnement est réduit au minimum, afin de ne pas entraver la vue, la circulation et les possibilités d’aménagement. L’ensemble est séparé par une cloison longitudinale de couleur violette, dans l’axe Nord-Sud. Un plancher bois apporte de la chaleur à ces espaces minimalistes, en harmonie avec la modernité de l’aluminium et du verre.

Implantées sur l’arrière et en plain-pied sous les coques, les chambres d’hôtes sont baignées de lumière grâce à une large baie fixe SOLEAL. Elles permettent aux visiteurs de profiter pleinement de la vue sur le paysage.

© TECHNAL ARCHITECTE : ERIC LENOIR

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Published by LV_RM - dans Lauréat - Prix - Technal Verre Aluminium
25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 06:50
L’Hôtel de Région d’Auvergne, un bâtiment HQE® de béton, de bois et de verre

L’Hôtel de Région d’Auvergne, un bâtiment HQE® de béton, de bois et de verre

Un bâtiment emblématique des matériaux régionaux, certifié BBC et HQE®

La construction du nouvel Hôtel de Région, menée par le Conseil Régional d’Auvergne, enfin achevée, regroupera l’ensemble de ses 400 agents territoriaux en un lieu unique. La conception du bâtiment, emblématique de la région Auvergne, s’inscrit dans une perspective de développement durable. L’agence SOPREMA ENTREPRISES de Clermont-Ferrand a été retenue pour concevoir l’intégralité des systèmes d’étanchéité de ce projet ambitieux.

Alors que ses services étaient éclatés sur différents sites à Chamalières et à Clermont- Ferrand, la Région Auvergne a désormais un Hôtel de Région qui accueille les 400 agents du siège.

Situé à Montferrand, le long du boulevard Léon Jouhaux, à côté du Musée d'Art Roger Quilliot, le nouvel Hôtel de Région, bâtiment en transparence, alliant verre et bois, autour de jardins arborés et ouvert sur la ville, s’inscrit dans une démarche de Haute Qualité Environnementale et répond aux performances des Bâtiments labellisés Bâtiments Basse Consommation (BBC).

Suite à un concours européen, l'équipe de l'architecte parisien Bruno Mader et des clermontois Atelier 4 a été retenue pour réaliser ce projet qui est devenu aujourd’hui réalité. Les portes sont ouvertes !

L’Hôtel de Région regroupe l’ensemble des services du Conseil Régional d’Auvergne jusqu’ici disséminés sur 6 sites différents.

Environ 400 personnes travaillant sur l’ensemble des politiques régionales sont désormais installées dans ce nouvel Hôtel de Région. Une nouvelle vie en perspective pour ce quartier et son développement économique.

La première Session dans la nouvelle Salle d’Assemblée s’est tenue les 23 et 24 juin 2014.

L’Hôtel de Région d’Auvergne, un bâtiment HQE® de béton, de bois et de verre

Sobriété énergétique, utilisation du bois ressource renouvelable, pérennité des performances... Dans sa volonté de faire du développement durable et de l’environnement en particulier un élément transversal de ses politiques, la Région Auvergne a souhaité donner l’exemple.

L’Hôtel de Région sera prochainement certifié HQE (Haute Qualité Environnementale) et BBC (Bâtiment Basse Consommation).

Participent notamment à la qualité environnementale (non exhaustif) :

- Le choix d’écoproduits et l’utilisation importante de bois local (Douglas Massif central),

- Le tri des déchets et la limitation des nuisances pendant le chantier,

- Un bâtiment BBC Effinergie, des panneaux photovoltaïques en toiture, un puits canadien,

- Des toitures végétalisées et l’utilisation des eaux pluviales pour l’arrosage,

- Une gestion automatisée des équipements du bâtiment (stores, éclairage) ..

Le chantier débuté en décembre 2011 s’est terminé comme convenu fin décembre 2013. Les aménagements d’équipements notamment informatiques interviennent dans la foulée pour une mise en service pleinement opérationnelle courant du printemps 2014.

Le chantier de l’Hôtel de Région a marqué son engagement social et humain par l’embauche de personnes éloignées de l’emploi dans une vraie démarche d’insertion.

Au total, 10% des heures de travail effectuées, soit environ 32 000 heures, ont été réalisées par un public éloigné de l’emploi au cours de ce chantier de 2 ans.

Une charte d’objectifs cosignée entre la Région, Clermont Communauté et GFC Construction a permis à ce public d’intégrer un contrat de professionnalisation de 10 mois.

L’Hôtel de Région d’Auvergne, un bâtiment HQE® de béton, de bois et de verre

Un bâtiment HQE® de bois et de verre

Inscrit dans une démarche HQE® (Haute Qualité Environnementale), l’Hôtel de Région d’Auvergne s’insère naturellement dans son environnement. L’architecture de l’ouvrage, conçue par Bruno Mader et les équipes de l’Atelier 4, est un hommage à l’Auvergne. Le bois utilisé, du pin Douglas, provient du Massif Central et le socle du bâtiment est en Pierre de Volvic. Constitué d’une façade en verre, la transparence du bâtiment symbolise l’ouverture vers la cité et les citoyens. L’ensemble allie tradition et modernité.

Ce bâtiment, conçu par l’architecte Bruno Mader, repose sur un socle en béton constituant le rez-de-chaussée et le 1er niveau, et s’articule autour de 3 patios intérieurs arborés et recouverts d’une verrière photovoltaïque. Les 3 niveaux supérieurs, qui abritent les bureaux, sont prévus en structure bois.

Ce projet présente un caractère architectural unique grâce à une alliance harmonieuse de différents matériaux. Les façades des niveaux inférieurs (RDC et R+1) sont des voiles matricés représentant des orgues volcaniques par la juxtaposition de « strates » de béton plus ou moins inclinées. Les niveaux supérieurs possèdent quant à eux une façade d’ossature bois revêtue soit de bardage bois-aluminium ou acier et d’ensembles vitrés le tout entouré d’une double façade composée de vantelles vitrées (motorisées pour 50% d’entre elles) fixées sur des poteaux bois. Dans cette double peau, des poteaux-bois disposés en « V » se superposent à des poteaux-béton similaires aux niveaux inférieurs formant ainsi une résille englobant l’ensemble de l’ouvrage.

La structure globale du bâtiment s’articule elle aussi autour du complexe bois-béton. Le sous-sol, le rez-de-chaussée et le premier niveau sont en béton armé et forment ainsi un socle support des niveaux supérieurs en structure bois contreventés par les noyaux centraux en béton.

En associant plusieurs dispositifs destinés à réduire la facture énergétique et à offrir un environnement agréable aux utilisateurs, les consommations sont limitées et mêmes réduites par le gain apporté par des panneaux photovoltaïques. Ainsi, la double-façade, les atriums plantés, les toitures végétalisées, le puits canadien et les cellules photovoltaïques participent à la création d’un bâtiment respectueux de l’environnement et économe en énergie.

Le voile matricé :

Bruno Mader, l'architecte du projet a souhaité refléter l'activité tellurique de la région sur le socle de son bâtiment. Pour cela il a envisagé un matriçage des voiles périphériques des niveaux inférieurs (rez-de-chaussée et R+1) pour représenter les orgues volcaniques présents en nombres parmis les volcans d'Auvergne. Le "moule" du voile matricé se compose d'une membrane en élastomère de polyuréthane élastique à réemplois multiples fixé à la banche qui sert de coffrage au voile. Cette matrice est réalisée sur mesures d'après un dessin original de l'architecte.

Le matricage des voiles périphériques sur 6.50 m de hauteur requière de grandes qualités de coffrage et de bétonnage afin d'obtenir un parement soigné et un calepinage réguliers des joints.

Le voile par passes :

La proximité de la voie de tramway en limite de propriété, le long du boulevard Jouhaux, impose la mise en oeuvre d'un ouvrage de soutènement. Les contraintes du lieu (d'espaces et des voies de tramway) conduisent à mettre en place un ouvrage autostable. Le choix de la réalisation d'un voile par passes butonnées a donc été fait.

Cette technique consiste à construire le voile progressivement (passe par passe). Après le terrassement de la première passe, son ferraillage est mis en place et du béton est projeté afin de réaliser le voile. Un étaiement provisoire de ectte passe est mis en oeuvre et permet alors de réaliser le terrassement de la passe mitoyenne en toute sécurté.

Côté chantier, bien que conçu sous l’ancienne législation en termes d’obligations énergétiques, la Région a opté pour un projet avant-gardiste, certifié sous les normes de la Réglementation thermique 2012 (RT 2012), NF HQE® Bâtiments Tertiaires (meilleures pratiques actuelles en termes de performances environnementales et énergétiques).

Au-delà de cette certification « NF Bâtiments Tertiaires », associée à la démarche HQE, le chantier de l’Hôtel de Région a marqué son engagement social et humain par l’embauche de personnes éloignées de l’emploi dans une vraie démarche d’insertion.

Au total, 10% des heures de travail effectuées, soit environ 32 000 heures, ont été réalisées par un public éloigné de l’emploi au cours de ce chantier de 2 ans.

Une charte d’objectifs cosignée entre la Région, Clermont Communauté et GFC Construction a permis à ce public d’intégrer un contrat de professionnalisation de 10 mois.

L’Hôtel de Région d’Auvergne, un bâtiment HQE® de béton, de bois et de verre

Une toiture-terrasse végétalisée en adéquation avec le projet

La toiture-terrasse du bâtiment bénéficie de 2 000 m2 de végétalisation Sopranature ®Toundra, parfaitement adaptée à la démarche HQE® du projet. Le complexe végétal favorise en effet l’inertie thermique du bâtiment, améliore le confort acoustique et régule l’évacuation des eaux de pluie. La mise en œuvre des rouleaux pré-cultivés avec support bois a bénéficié d’une première couche d’étanchéité bitumineuse puis d’une deuxième couche bitumineuse anti-racine spécifique au revêtement végétalisé.

La toiture accueille également des espaces techniques support béton avec une étanchéité bicouche bitumineuse sous protection gravillons.

Six patios arborés, poumons verts de la structure

Le rez-de-chaussée et le 1er étage de l’Hôtel de Région s’articulent autour de 3 patios intérieurs arborés, de 130 à 420 m2, sous une verrière close. Afin d’accueillir les jardins, les patios ont reçu un système d’étanchéité spécifique comprenant une bicouche anti-racine pouvant supporter 80 cm de terre végétale ainsi que la plantation et l’arrosage de plusieurs arbres.

La mise en œuvre de ces patios a répondu à un timing serré. Le système d’étanchéité a en effet été installé une fois la structure de la verrière construite, mais avant la pose du vitrage photovoltaïque. L’ensemble des matériaux est passé par le toit de la verrière, notamment les murs en L béton de 80 cm de haut par 40 cm de long, pour la création des caniveaux des jardins.

Une voie de secours digne des plus grands ponts

Pour réaliser, à l’extérieur du bâtiment, la voie circulable accessible aux pompiers, l’agence SOPREMA ENTREPRISES de Clermont-Ferrand a proposé une solution très technique semblable à l’étanchéité des ouvrages du génie civil. Le complexe d’étanchéité est ainsi composé d’un primaire bouche-pores, traditionnellement employé pour préparer le tablier d’un ouvrage d’art, puis d’une étanchéité bicouche bitumineuse protégé par un béton bitumineux de 5 cm d’épaisseur.

L’Hôtel de Région d’Auvergne, un bâtiment HQE® de béton, de bois et de verre

L’Hôtel de Région en quelques dates

→ Mai 2006 : programme général approuvé par l’assemblée

→ 2007 : Choix de l’architecte Groupement Bruno Mader

→ 2008 : projet suspendu à cause du projet de réforme des collectivités (taille

de l’Assemblée)

→ 2010 : reprise du projet

→ Septembre 2011 : Choix de l’entreprise en charge des travaux : GFC

→ Novembre 2011 : démarrage des travaux par l’entreprise

→ Décembre 2011 : pose de la première pierre

→ Début 2014 : fin des travaux

→ 7 au 10 février 2014: test d’étanchéité à l’air

→ 19 Mars 2014 : 1er agents qui déménagent

→ 11 avril 2014 : réception de l’Hôtel de Région

→ Avril 2014 : déménagement de l’ensemble des agents

→ 21 Juin 2014 : Inauguration

→ 24 Juin 2014 : 1ère session dans le nouvel Hôtel de Région

L’Hôtel de Région en quelques montants

→ 81 Millions d’euros : montant total du projet, terrain, évacuation des gravats, construction et équipements

→ 12 Millions d’euros : montant du remboursement de la TVA à déduire

→ 1,5 Million d’euros : montant vente du patrimoine existant de l’ancien hôtel de Région

→ 68 Millions d’euros : coût du projet une fois le remboursement de la TVA et la vente des biens immobiliers déduits

→ 4.054 euros HT : coût de revient du m2

→ 2,3 Millions d’euros : loyers annuels économisés (base2013)

L’Hôtel de Région en surfaces

→ 16.757 m2 surface SHON (Surface Hors Œuvre Nette)

→ 14.380m2 surface de plancher dans patios

→ 18.800 m2 de terrain

→ 1.777 m2 de panneaux photovoltaïques dont 916 m2 en verrière

→ 330 m2 Salle d’Assemblée

→ 6,75mhauteursousplafondsalled’assemblée

→ 6,40m hauteur sous plafond hall d’accueil

→ 81m de longueur de la rue centrale au rez-de-chaussée

L’Hôtel de Région en quelques chiffres

→ 295 pieux servant de fondation profonde au bâtiment

→ 420 nombres d’agents du siège

→ 684 capacité d’accueil du personnel

→ 742 capacité d’accueil public

→ 1.426 capacité totale d’accueil sur site

→ 6 sites regroupés en 1

→ 12.000 bâtons mis un a un dans la salle d’Assemblée

→ 3 semaines pour les poser

→ 225 sièges dans la salle d’Assemblée (tribune public comprise) dont 144 dans

l’Assemblée

→ 2 parkings 1 en sous-sol et 1 extérieur

→ 224 places de parking en intérieur

→ 80 places de parking visiteurs en extérieur

→ 4 étages + 1 Rez-de-chaussée.

→ 3 patios intérieurs

→ 1 terrasse végétalisée

→ 19° température

Les intervenants du chantier

- Maître d’ouvrage : Conseil Régional d’Auvergne

- Maître d’œuvre : Bruno Mader Architecte/ Atelier 4

- Entreprise générale : GFC Construction

- Etudes et étanchéité: SOPREMA ENTREPRISES – agence de Clermont-Ferrand

L’Hôtel de Région d’Auvergne, un bâtiment HQE® de béton, de bois et de verre

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16 juin 2014 1 16 /06 /juin /2014 06:56
BUILD(DINGUE), PRIX L’ŒUVRE, 2ème ÉDITION

BUILD(DINGUE), PRIX L’ŒUVRE, 2ème ÉDITION

BUILD(DINGUE), UNE ARCHITECTURE DE VERRE QUI INTERROGE LE THÈME DU VIVRE ENSEMBLE

Le duo de verriers Anne Donzé et Vincent Chagnon vient d’être désigné lauréat de la deuxième édition du Prix L’œuvre de la Fondation Ateliers d’Art de France, pour son projet Build(dingue).

Le Prix L’œuvre de la Fondation Ateliers d’Art de France récompense une œuvre en devenir qui intègre les métiers d’art de manière particulièrement innovante et contemporaine.

Pour la réalisation de son projet d’œuvre Build(dingue), le couple de lauréats bénéficiera d’un budget de 40 000 euros et d’une campagne de communication et de diffusion de l’œuvre d’une valeur de 20 000 euros, orchestrée par la Fondation.

Elle permettra de suivre le processus de réalisation de l’œuvre et le vécu du duo impliqué dans ce projet à long terme.

En janvier 2015, l’œuvre sera dévoilée au public à la galerie Collection dans le Marais, à Paris.

Comité de sélection de la deuxième édition du Prix L’œuvre de la Fondation Ateliers d’Art de France :

- Fabien Simode, rédacteur en chef du magazine L’Œil - Marie-José Mascioni, directrice de l’ENSAAMA-Olivier de Serres - Jérôme Farigoule, directeur du musée de la Vie romantique - Côme Rémy, expert en arts décoratifs du 20ème siècle - Colette Barbier, directrice de la Fondation d’Entreprise Ricard - Aude Tahon, créatrice textile, administratrice d’Ateliers d’Art de France - Serge Nicole, céramiste, président de la Fondation Ateliers d’Art de France.

Ce projet d’œuvre monumentale, qui sera réalisé au fil des neuf prochains mois avec le soutien de la Fondation, consiste en un « quartier de verre » de neuf tours composées de cubes dans lesquels se jouent des scènes de la vie quotidienne.

À travers cette création, Anne Donzé et Vincent Chagnon abordent des thèmes récurrents de leur parcours commun : le voyeurisme dans la transparence, le vivre ensemble ou encore l’ouverture de soi et à l’autre.

crédits photographique : © Anne Donzé et Vincent Chagnon

© Gilles Leimdorfer

© Gilles Leimdorfer

BUILD(DINGUE), UNE VILLE DE VERRE

Pour leur projet Build(dingue), Anne Donzé et Vincent Chagnon, couple de verriers franco-canadiens, proposent de bâtir – presque à hauteur d’homme – neuf immeubles de verre. Chaque édifice est constitué de boîtes en verre soufflé, posées les unes sur les autres comme autant de cases ou « d’appartements » où se joueront de petites scènes quotidiennes en pâte de verre.

Si la transparence du matériau appelle à l’indiscrétion et au voyeurisme, l’organisation de ces boîtes habitées, voisines mais hermétiques, renvoie à l’isolement en milieu urbain. Un propos qui a séduit le jury. « Notre choix s’est porté sur ce projet pour ce qu’il combine : la présence des métiers d’art, la technicité mise en œuvre, la dimension plastique et esthétique mais aussi le message, une virtualité enfermante pour laquelle la multiplication des modules de verre est totalement pertinente », explique Jérôme Farigoule.

Si le projet Build(dingue) respecte les critères de sélection – innovation, modernité, faisabilité – il permet aussi de travailler le verre dans une démesure inhabituelle, ce qui a conquis Fabien Simode, membre du jury : « La minutie et la finesse d’exécution que l’on reconnaît d’ordinaire au travail du verre disparaît ici derrière une œuvre monumentale qui semble brute au premier abord. Or, il y a véritablement une technicité et un savoir-faire qui se feront oublier derrière la dimension sculpturale de l’œuvre. Il faudra s’approcher pour découvrir la qualité du travail ».

UNE ARCHITECTURE HABITÉE

Anne Donzé et Vincent Chagnon ont tout prévu. Et notamment d’inviter le futur visiteur à jeter un œil dans les cases de verre, en circulant librement au milieu de l’installation. Soit neuf buildings d’1,50 mètre de haut et d’un demi-mètre carré de base, l’ensemble s’organisant sur un espace de 3 mètres carrés.

Parmi les cases de verre qui constituent ces édifices, 36 abriteront des personnages occupés à prendre leur douche, regarder la télévision, éplucher les légumes, passer un appel depuis une cabine téléphonique, ou bien prêts à partir en voyage avec leurs bagages à roulettes.

Si Montréal, où Anne la française a rejoint Vincent le canadien, leur a inspiré ce paysage de tours de verre vaste et aéré, ce sont les flux parisiens qui les ont incités à s’interroger sur l’individualisme du monde citadin. « Des millions de personnes font la ville, mais chacun reste dans sa bulle, sans communiquer », explique Anne Donzé. « La paroi en verre transparent sert de protection à l’individu. Mais elle lui sert aussi à être vu et à se mettre en scène. Regarder au travers, c’est s’ouvrir au monde et s’observer pour un partage d’identité ».

Pour Fabien Simode, Build(dingue) rejoint la préoccupation de nombreux artistes contemporains qui « se posent la question du vivre ensemble aujourd’hui dans l’architecture des années 60 et 70, conçue à l’époque pour être porteuse d’utopie ».

© Anne Donzé et Vincent Chagnon

© Anne Donzé et Vincent Chagnon

DEUX PARCOURS, UNE RENCONTRE

Vincent, souffleur à la canne, s’est formé au Québec et en République Tchèque, tandis qu’Anne, spécialisée en pâte de verre et créatrice de bijoux contemporains, multipliait les expériences au CERFAV (Centre Européen de Recherches et de Formation aux Arts Verriers) à Vannes-le-Châtel, puis à l’Ecole Massana de Barcelone dont elle est sortie diplômée en Arts décoratifs, option bijou contemporain.

A quatre mains, ils ont notamment créé une collection de sacs en verre. De beaux pochons translucides et rigides faits pour transporter, contenir, préserver. Mais que l’on serait bien en peine de vider puisque contenant et contenu ne font qu’un : Vincent souffle à la canne une bulle de verre où Anne intègre à chaud un sujet en pâte de verre.

Un sachet où nage un poisson rouge, des sacs sous vide préservant les figurines Ken et Barbie... Leur pièce originelle, une mallette à souvenirs en verre et cuir, contient un hamac tendu entre une Tour Eiffel format poche et une miniature du stade olympique de Montréal et raconte comment Anne a rencontré Vincent au Canada en 2010.

Pendant des mois, le couple a travaillé sur ces emballages narratifs aussi drôles dans leurs formes et leurs intitulés (Ange (Sac)ré) que critiques dans leurs propos à l’égard d’une société qui consomme à outrance.

La collection Déballe ton sac, comme la série plus récente Déambulle, ont pris forme lors de deux résidences d’artistes au Centre d’Art du Verre de Carmaux. Elles concrétisent leur souhait d’associer leurs deux techniques respectives, chacun s’étant initié à la pratique de l’autre. Même si Vincent continue à souffler à son compte et qu’Anne poursuit de son côté son travail de création de bijoux dont elle extrapole les dimensions jusqu’à les transformer en perles à suspendre au mur.

LE GESTE IMPLACABLE DE L’ASSEMBLAGE À CHAUD

« On fusionne bien », reconnaît Anne qui évoque le métissage des cultures, le travail en commun, la vie de couple...

La fusion s’incarne jusque dans les techniques utilisées pour la réalisation des pièces. Avec un défi à relever qui confine à l’exploit : introduire les personnages en pâte de verre dans les prismes de verre soufflé. L’assemblage à chaud, longuement éprouvé pendant leurs résidences, prend ici une toute autre mesure avec le gigantisme de l’œuvre. « On travaille sur ce geste depuis quatre ans ! Nous sommes peu nombreux à travailler cette technique dans le monde du verre. Cela pourrait devenir notre signature ».

Une fois le sujet en pâte de verre libéré de son moule, nettoyé au dremel et à la mèche au diamant, il est confié aux bons soins d’un pick-up, un petit four où il monte progressivement en température.

Pendant ce temps, Vincent souffle une bulle de verre qu’il développe dans un moule en bois rectangulaire pour lui donner la forme d’une brique. Le prisme de verre soufflé est ensuite ouvert à chaud : avec mille précautions Anne y colle la saynète en pâte de verre. « Une seule goutte de sueur qui tombe du front du verrier sur le verre et la pièce se casse ! Les gestes sont chirurgicaux », explique Vincent qui veut atteindre la maîtrise parfaite de la technique et de l’esthétique.

© Antoine Brodin

© Antoine Brodin

NEUF MOIS DE CHANTIER

« Le projet nous travaillait depuis un certain temps, mais on doutait de pouvoir le réaliser dans cette envergure. Le Prix L’œuvre de la Fondation arrive au bon moment. Sans lui, le projet se serait épuisé et l’on serait passé à d’autres envies ».

Les 60 000 euros du Prix accompagneront un projet gourmand en temps et en énergie.

Trois fours (dont un four de fusion allumé en permanence) sont nécessaires à leurs manipulations de funambules du verre. Le duo s’installera à Vannes-le-Châtel, où il louera un atelier-galerie équipé juste en face du CERFAV.

L’échéancier des neuf mois oblige Anne et Vincent à anticiper avec rigueur l’alternance des pratiques : le lent travail de sculpture et de fonte des pâtes de verre et la fulgurance de l’assemblage à chaud. Des journées pour les premières, quelques minutes décisives pour le second.

Plusieurs reportages photo et vidéo permettront de suivre le processus de réalisation de l’œuvre. Anne et Vincent témoigneront de leur expériences de verriers expérimentaux en consignant leurs impressions dans un carnet de bord nourri de notes (« J’aime écrire », précise Anne), de croquis et de photos de ces dessins à la craie que les verriers, par tradition, tracent sur le sol quand les mots leur échappent pour traduire un problème technique.

2011 - 2015, LES TEMPS FORTS DE LA FONDATION

PRIX L’ŒUVRE

En 2011, année de lancement de la Fondation, le premier Prix L’œuvre était remis au sculpteur céramiste Jean-François Bourlard pour son projet Raku Punk. Durant 9 mois, la Fondation l’a accompagné pour réaliser son œuvre monumentale en céramique.

Dévoilée au public lors de la Biennale de la Création des Arts Décoratifs à Paris en 2012, Raku Punk a été exposée à la Galerie Capazza à Nançay en 2013. Elle sera à nouveau présentée du 24 mai au 15 novembre 2014 à la Maison de la Poterie de Sadirac, en Aquitaine, à l’occasion du Festival Céramique en fête.

Quant à l’œuvre du duo de verriers Anne Donzé et Vincent Chagnon, lauréat de la deuxième édition du Prix, elle sera exposée en janvier 2015 à la galerie Collection dans le Marais à Paris.

PRIX LE CRÉATEUR

En 2012, Tzuri Gueta devenait le premier lauréat du Prix Le créateur. Avec le soutien de la Fondation, il a ainsi réalisé son rêve de présenter ses créations d’inspiration organique en textile et silicone lors de l’exposition Noces Végétales dans les Grandes Serres du Jardin des Plantes à Paris de novembre 2013 à février 2014, à laquelle près de 35 000 visiteurs se sont rendus.

L’appel à candidatures de la deuxième édition du Prix Le créateur sera lancé en décembre 2014.

PRIX LA PENSÉE

En septembre 2014, la sociologue Anne Jourdain, nommée lauréate du premier Prix La pensée en 2013, verra son ouvrage Les artisans d’art en France publié, avec le soutien de la Fondation, par les Éditions Belin. L’appel à candidatures du prochain Prix La pensée sera lancé en décembre 2015.

© Pierre-Jean Grattenois

© Pierre-Jean Grattenois

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 06:48
Un verre feuilleté SunEwat XL en allèges …

Un verre feuilleté SunEwat XL en allèges …

SunEwat XL, le verre feuilleté d’AGC intégrant des cellules photovoltaïques, élargit le champ de ses possibilités en pouvant maintenant être utilisé aussi en allèges.

Le secteur du BIPV (Building-integrated photovoltaic) est en constante évolution et nombreux sont les architectes à la recherche de solutions qui intègrent des éléments générateurs d’électricité dans les matériaux de construction des bâtiments. Depuis plusieurs années déjà, le produit SunEwat XL qui est un verre produisant de l’électricité, offrait aux architectes une multitude de possibilités pour une utilisation en façades, verrières, brise-soleil, balustrades ou ventelles. Grâce à une amélioration technologique du produit lui permettant dorénavant de résister à de plus hautes températures, AGC Glass Europe est en mesure de proposer une nouvelle application : l’utilisation de SunEwat XL en allèges. En utilisant ces surfaces non dédiées à la vision, c’est maintenant toute la surface disponible de la façade qui peut devenir productrice d’énergie. La performance énergétique du bâtiment s’en trouve dès lors considérablement maximisée. AGC garantit le maintien des performances du produit à des températures jusqu’à 100°C. SunEwat XL est particulièrement destiné pour les allèges non ventilées.

© AGC Glass Europe - Owner Conseil régional d Aquitaine - Company T2B Aluminium - Architects Atelier des architectes Mazières et associé Daniel De Marco

© AGC Glass Europe - Architect Faouzi - Owner Mairie de Villeneuve d Ascq

© AGC Glass Europe - Architect Faouzi - Owner Mairie de Villeneuve d Ascq

Une multitude d’avantages
Le principe de SunEwat XL est simple : des cellules photovoltaïques mono ou polycristallines sont encapsulées dans un verre feuilleté de sécurité. Ce produit est destiné à être installé en lieu et place des éléments de construction traditionnels dans l'enveloppe même du bâtiment. Grâce à ces cellules directement intégrées dans les surfaces de verre, ce principe évite l’ajout d’un système photovoltaïque indépendant : verre et module photovoltaïque en un seul et même élément. Etant fabriqués sur mesure (différentes tailles et puissances électriques sont possibles), ces modules peuvent être adaptés à chaque projet. Pour renforcer le confort comme l’isolation thermique, ou jouer sur le design, ils peuvent se combiner avec d’autres produits verriers (mise en double vitrage, utilisation de verres sérigraphiés ou colorés,…). Les modules SunEwat XL offrent aux architectes toutes les garanties : ils sont conformes aux dernières règlementations en étant notamment certifiés EN 14449 (bâtiments), IEC 61215 et IEC 61730 (photovoltaïque).

© AGC Glass Europe - Owner Conseil régional d Aquitaine - Company T2B Aluminium - Architects Atelier des architectes Mazières et associé Daniel De Marco

© AGC Glass Europe - Owner Conseil régional d Aquitaine - Company T2B Aluminium - Architects Atelier des architectes Mazières et associé Daniel De Marco

SunEwat XL : pour gagner plus de points dans les systèmes de certification des bâtiments LEED et BREEAM
Les modules SunEwat XL peuvent contribuer de manière non négligeable à l’octroi de points dans la certification LEED (jusqu’à 7 points pour la version 3 et 3 points pour la version 4, catégorie Renewable Energy Production) et de crédits dans le système de certification BREEAM International New Construction (jusqu’à 2 crédits dans la catégorie Low and Zero Carbon Technologies). Ces certifications internationales, évaluant les performances environnementales des bâtiments, sont de plus en plus valorisées par les architectes et les prescripteurs lors de la conception d’un projet.

 © AGC Glass Europe - Architect Faouzi - Owner Mairie de Villeneuve d Ascq

© AGC Glass Europe - Architect Faouzi - Owner Mairie de Villeneuve d Ascq

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Published by LV_RM - dans Photovoltaïque Solaire Verre SunEwat XL
31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 07:42

Paroi_Vitree.jpgCalculez en trois clics les propriétés de vos parois vitrées courantes, équipées ou non de leurs protections mobiles.

L’importance des parois vitrées dans la conception des bâtiments constitue dans la nouvelle réglementation RT 2012 l’une des composantes permettant d’obtenir des performances très intéressantes pour minimiser les dépenses de chauffage en hiver et de refroidissement en été, tout en privilégiant l’éclairage naturel à l’éclairage artificiel.

Pour ce faire, elle impose une surface minimale de parois vitrées dans les logements, 17% de la surface habitable et une limitation des ponts thermiques de liaison fixée à 0,28 W/m²SHONRT.K

Ainsi pour les concepteurs, la fonction des parois vitrées s’inscrit dans la performance énergétique de l’édifice à bâtir ou à rénover. Elles diffusent chaleur et lumière tout en participant à l’isolation de l’enveloppe.

Ainsi, l’apport de chaleur et de lumière des parois vitrées contribue à diminuer les consommations de chauffage, refroidissement et d’éclairage.

Mais alors, comment juger des performances thermiques et lumineuses des menuiseries ou des fermetures ou encore d’une protection solaire… ?

Ayant présenté dernièrement le critère essentiel des fermetures pour passer de l’ombre à la lumière, les parois vitrées symbolisent trois éléments :

- le coefficient de transmission thermique U,

- le facteur solaire S,

- le facteur de transmission lumineuse TL.

C’est donc à travers l’association de ces trois facteurs qui permettent d'acquérir  des performances énergétiques agissant sur le confort d’été et le confort d’hiver.

Selon le profil de consommation du bâtiment (chauffage prépondérant pour l’habitat, éclairage et climatisation éventuels premiers postes pour le tertiaire), selon sa situation (zone climatique), selon sa conception (orientation et surface des fenêtres, inertie…), l’influence relative de chaque caractéristique change.

Le coefficient U seul ne suffit donc pas à diminuer les consommations d’énergie (chauffage, éclairage, refroidissement) du bâtiment. Une approche globale est indispensable, il n’y a pas de caractéristique prédominante : U, S, TL  sont indissociables.  

Dans l’absolu, il convient d’opter pour le meilleur niveau théorique de chaque caractéristique.

Cependant, dans la réalité de la technique et des matériaux d’aujourd’hui, l’amélioration d’une caractéristique n’est pas sans conséquence sur les deux autres. Sur le marché actuel, les fenêtres les plus isolantes permettent moins d’apports solaires et lumineux et les fenêtres dont les apports sont les plus élevés sont moins isolantes. Le choix doit donc être fait en fonction de chaque bâtiment avec les caractéristiques précises des parois vitrées déterminées avec leur composition et leurs dimensions réelles.

Pour aider les concepteurs dans leurs travaux, la FFB pôle fenêtre a lancé depuis novembre un site paroisvitreesrt2012.fr permettant de calculer gratuitement les caractéristiques énergétiques des parois vitrées.

Destiné aux maître d’œuvres, aux bureaux d’études, le site se propose de calculer les propriétés de parois vitrées courantes, équipées ou non de leurs protections mobiles.

Le fait que la RT2012 exige donc le calcul de 18 valeurs pour caractériser une paroi vitrée, tant dans la quantité d’apports solaires gratuits entrant dans le bâtiment que dans l’apport de la lumière naturelle.

 

Paroi vitrée seule

ou avec la protection mobile relevée

Paroi vitrée

avec la protection mobile baissée

Coefficient de transmission thermique U(1)

Uw

___ W/m².K

Uws

___ W/m².K

Facteur de transmission solaire S(2)

Conditions de référence C

Conditions de confort E

Conditions de référence C

Conditions de confort E

SCw1

__

SEw1

__

SCws1

__

SEws1

__

SCw2

__

SEw2

__

SCws2

__

SEws2

__

SCw3

0(3)

SEw3

0(3)

SCws3(5)

__

SEws3(5)

__

SCw(4)

__

SEw(4)

__

SCws(4)

__

SEws(4)

__

Facteur de transmission lumineuse TL(2)

TLw

___

TLws

___

TLw,n-dif

0(6)

TLws,n-dif

___

Ainsi, le site établi un calcul qui permet de connaître en détail les caractéristiques énergétiques des fenêtres équipées de leur fermeture ou store, l’isolation (Uw), le facteur solaire (Sw) et la transmission lumineuse (TLw). Des caractéristiques utilisées lors des 2 étapes majeures de l’application de la RT2012 à un bâtiment :


- Première étape : le permis de construire.
Paroisvitreesrt2012.fr répond aux besoins des acteurs en amont des projets et avant consultation des entreprises. Il permet d’obtenir, en quelques clics, les caractéristiques détaillées pour calculer le Bio réglementaire.


- Deuxième étape : la réalisation du bâtiment.


L’outil de calcule proposé par FFB pôle fenêtre intègre donc la prise en compte des parois vitrées dans la RT2012 qui repose sur l’intégration des caractéristiques des produits dans le moteur de calcul réglementaire. Cette intégration prend en compte le mode de mise en œuvre des parois vitrées. Elle peut se résumer par les trois étapes suivantes :

Etape 1 : caractérisation des parois vitrées

Les caractéristiques thermiques et lumineuses (U, S et TL) des parois vitrées doivent être calculées en fonction du type de vitrage, de cadre, des dimensions, etc. La présence ou non d’une protection mobile (fermeture ou store) doit être prise en compte.

- Qui : Le fabricant de la paroi vitrée

- Références : Normes EN ISO 10077-1, règles Th-U et XP P50-777

 

Etape 2 : intégration dans le bâtiment

Les caractéristiques de transmission énergétique et lumineuse S et TL des parois vitrées issues de l’étape 1 sont reprises et adaptées pour prendre en compte leurs conditions de mise en œuvre : épaisseur du tableau, type de mise en œuvre, orientation, correction de l’angle d’incidence, …

Les ponts thermiques de liaison entre les parois vitrées et le bâti sont pris en compte à cette étape.

- Qui : Le bureau d’études thermiques

- Références : Règles Th-Bat

 

Etape 3 : calcul thermique conventionnel

Un calcul conventionnel du coefficient de besoins bioclimatiques Bbio, des consommations Cep et des températures intérieures est effectué en prenant en compte le type de bâtiment, la zone climatique, l’orientation... 

Pour le calcul du Bbio, des valeurs cibles des parois vitrées peuvent être utilisées. 
Pour le calcul des consommations Cep et du confort d’été, les caractéristiques précises des parois vitrées (à leurs dimensions) réellement utilisées dans le projet doivent être utilisées.

- Qui : Le bureau d’études thermiques

- Références : Règles Th-BCE

 

Exigences additionnelles

En complément du calcul thermique à l’échelle du bâtiment, des exigences de moyens spécifiques aux parois vitrées doivent être respectées.

Ainsi, pour permettre un accès minimal à la lumière naturelle, la réglementation impose une surface minimale de parois vitrées, le seuil étant fixé à 1/6ème de la surface habitable.

Par ailleurs, afin d’assurer un minimum de confort d’été :

* Dans tout local destiné au sommeil et non climatisé, les parois vitrées doivent être équipées de protections solaires mobiles, de sorte que le facteur solaire Sws soit inférieur ou égal à des valeurs spécifiées par arrêté, et

* Les parois vitrées doivent pouvoir s’ouvrir sur au moins 30% de leur surface. 

Enfin, bien qu’il s’agisse d’une exigence globale à l’échelle du bâtiment, les parois vitrées – et particulièrement leur mise en œuvre – sont particulièrement concernées par la limitation de la perméabilité à l’air des bâtiments. 

Les limites fixées à 0,6 m3/h/m² de parois déperditives en maison individuelle et 1 m3/h/m² de parois déperditives en immeuble collectif d’habitation doivent être vérifiées soit par mesure soit par application d’une démarche qualité agréée.

- Qui : Le maître d’ouvrage

- Références : Arrêté du 26 octobre 2010 

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Published by Lucvieri - dans Verre
26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 07:02

Roto-.jpg

La fenêtre de toit prête à poser par Roto

Un produit pour accompagner au mieux les professionnels couvreurs sur leurs chantiers en neuf et en rénovation, Roto, qui développe, conçoit et commercialise des fenêtres de toit à destination des négoces et des professionnels, dispose d’une gamme complètes de fenêtres de toit prêtes à poser. Ces dernières allient performance énergétique, confort, rapidité et simplicité de mise en œuvre par l’intérieur de la toiture apportant plus de sécurité au poseur professionnel.

Le prêt à poser par Roto (Retrouvez ces produits sur recycling-material.com)

ROTO1.jpg

Fabricant de produits durables de grande qualité « Made in Germany » (plus de 90% de la production provient d’Allemagne), Roto est le spécialiste de la fenêtre de toit prête à poser grâce à l’assemblage de profilés extérieurs qui se fixent par simple clipsage sans avoir recours à des vis et au prémontrage en usine de ses éléments :

- équerres de fixation,

- collerette de liaison au pare-vapeur montée de série pour supprimer les entrées d’air parasites (perméabilité à l’air : classe A3 selon la norme NF en 12207)

- système d’isolation périphérique composé d’un bloc isolant (optionnel) permettant de réduire les ponts thermiques

- store extérieur pare-soleil Screen (optionnel)

- double-joint d’étanchéité en EPDM conforme à l’éxigence selon la norme NF EN 13829.

Autre avantage, toutes les fenêtres de toit Roto, éléments et accessoires, sont livrés en un seul colis (hormis les raccords de toiture) évitant ainsi la perte d’éléments lors de la livraison sur les chantiers ou dans les négoces.

Une seule personne suffit au montage des fenêtres de toit par l’intérieur de la toiture assurant également une totale sécurité du professionnel poseur.

Grâce à sa conception, la fenêtre de toit Roto voit donc sa mise en œuvre simplifiée offrant un gain de temps de l’ordre de 30% relatif à sa fixation sur chevêtre et l’installation de son raccord (hors création de chevêtre et coupe de tuiles ou d’ardoise).

ROTO.jpg

Lorsqu’il s’agit de la pose d’une fenêtre de toit équipée du store Screen, d’un bloc isolant et de la collerette de liaison au pare-vapeur, prémontés en usine, le gain de temps dont bénéficie le couvreur est d’environ 1 heure.

Les raccords Roto

Le kit de raccordement extérieur permet de réaliser un raccord précis pour une étanchéité optimale entre la fenêtre de toit et l’écran de sous-toiture. Les eaux de ruissellement sont ainsi déviées par le renvoi d’eau fourni avec le raccord situé au-dessus de la fenêtre de toit. Adaptable sur tous les modèles Roto, il comprend 4 profilés latéraux, 4 renforts d’angles autocollants intérieurs et un rouleau de bande adhésive.

De plus, Roto dispose de raccords de toiture spécifiquement conçus selon la composition de la couverture (tuiles mécaniques, canal ou ardoise). Ainsi adaptés à chaque type de toiture, l’installation des raccords se voit également simplifiée.

Roto propose également des raccords également des raccords modulaires permettant l’installation de ses fenêtres de toit par juxtaposition ou superposition pour une exploitation optimale de l’espace et de la lumière… 

 ROTO3.jpg

Des finitions de qualité

Pour l’habillage extérieur, Roto a développé un concept de profilés sans vissage. L’assemblage par clipsage des profilés extérieurs, qui dispense le poseur d’outillage, optimise considérablement le temps de mise en oeuvre et assure une excellente tenue dans le temps.

Concernant l’habillage intérieur,Roto dispose d’une solution PVC se substituant totalement aux plaques de plâtre. Rapide à poser, le couvreur peut ainsi livrer son chantier sans délai supplémentaire n’ayant pas la nécessité de recourir à un plaquiste pour les finitions intérieures.

Rappelons que Roto conçoit de la fenêtre de toit en bois et PVC et est par ailleurs le seul fabricant proposant de la fenêtre de toit sur mesure en PVC.

La gamme de fenêtres de toit Roto intègre en outre toutes les dimensions standards du marché pouvant répondre ainsi à la demande des couvreurs sur leurs chantiers.

Dans le cadre de la réglementation en vigueur, les fenêtres de toit Roto sont également éligibles au crédit d’impôt avec des valeurs de Uw pour la Designo R8 équipée du triple vitrage Roto blueLine NE de 0.86 W/m2K pour le bois et 0.84 W/m2K pour le PVC

Par ailleurs, Roto met à la disposition des professionnels son guide pratique de poche. Dédié à la fenêtre de toit Designo, ce dernier fait un tour d’horizon sur la gamme, ses éléments, accessoires et rappelle les avantages de la facilité de pose des fenêtres de toit Roto.

Retrouvez ses produits sur la plateforme Recycling Material.com

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Published by Lucvieri - dans Verre
21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 07:30

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En lançant ses Verrières modulaires, Velux s’étend sur les marchés destinés aux bâtiments publics et commerciaux…

Avec le lancement des Verrières Modulaires VELUX,  le Groupe VELUX a poursuivi et augmenté de 50 % ses investissements en Recherche & Développement entend développer ses activités sur le marché des bâtiments publics et commerciaux.

Depuis 70 ans, le Groupe VELUX est connu comme le créateur et le spécialiste mondial de la fenêtre de toit qui permet d'apporter la lumière du jour et l'air frais dans les habitations. Fort de cette réputation, le Groupe VELUX part à la conquête du marché public de l'éclairage zénithal naturel avec son nouveau concept, les Verrières Modulaires VELUX.

"L'innovation est dans la culture du Groupe VELUX depuis sa création. Ces cinq dernières années, nous avons ainsi augmenté nos investissements dans la Recherche & Développement de 50 % et y consacrons désormais environ 50 millions d'euros par an. Pour ce nouveau marché des verrières modulaires, nous avons investi 25 millions d'euros. Notre conviction est qu'une stratégie orientée vers l'innovation sera un atout compétitif supplément aire, une fois la crise économique terminée", explique Jørgen Tang-Jensen, le Directeur général du Groupe VELUX.

Les Verrières Modulaires VELUX répondent à la problématique d'apport de lumière naturelle dans les bâtiments publics et commerciaux, en offrant une nouvelle solution d'éclairage naturel zénithal. Actuellement, ce marché est dominé par des produits réalisés sur mesure mais nécessitant l'intervention de nombreux fournisseurs, d'où un coût élevé. Ce nouveau système de verrières modulaires est une solution standard, offrant une très grande souplesse créative par son large choix de dimensions et un assemblage facilité grâce à des modules préfabriqués livrés sur place et prêts à installer.

"L'arrivée des Verrières Modulaires VELUX signifie que pour la première fois, nous avons un produit spécialement adapté aux bâtiments publics et commerciaux. Nous espérons beaucoup de ce prolongement stratégique de notre métier traditionnel, et nous ambitionnons qu'il devienne, en dix ans, une part très importante de notre activité", poursuit Jørgen Tang-Jensen.

4 principes caractérisent les Verrières modulaires  :

- Multiplier la lumière

Pour offrir un maximum de lumière sous les toits, offrir une meilleure qualité de vie, donner du caractère aux combles aménagés. Combinez les fenêtres de toit classiques ou panoramiques selon votre créativité.

- L’esprit baie vitrée

L’esprit “baie vitrée” transposé à l’univers du comble aménagé. Une vue panoramique sur l’extérieur associée à une diffusion optimale de la lumière dans la pièce. Associer une fenêtre de toit fixe posée en allège à une fenêtre de toit panoramique.

- Un nouvel angle de vue

Un nouvel angle de vue grâce à l’exploitation optimale du retour vertical sous le toit. Une vision excellente sur le paysage extérieur combinée à une entrée de lumière maximale. Verrière composée d’une fenêtre verticale et d’une fenêtre de toit.

- La lumière zénithale

Faites entrer la lumière par le toit pour éclairer une pièce, un patio, une cage d’escalier... Les fenêtres électriques apportent la ventilation naturelle d’une simple pression sur la télécommande.

S’ouvrir l’esprit, maîtriser la lumière, apprivoiser les espaces, se libérer des contraintes techniques pour explorer de nouveaux champs de création. C’est cette volonté unique qui a amené VELUX à créer son système modulaire de fenêtres. Un système qui autorise toutes les combinaisons, toutes les adaptations et permet de libérer toutes les imaginations.

Son concept est aussi simple que novateur : toutes les ouvertures offrent une totale compatibilité dimensionnelle entre elles :            combinaison de fenêtres et verrières de toit planes ou avec retour vertical. Tous les modules peuvent être combinés pour créer des compositions architecturales aussi originales que variées.

Comme tous les produits VELUX, ce système est aussi fiable et sûr que chacune des fenêtres qui le compose. Au cœur de cette modularité, le système intelligent d’équerres de pose garantit une fiabilité à toute épreuve. Une gamme complète de raccords d’étanchéité adaptée aux différents types de combinaison vient, quant à elle, faciliter et sécuriser la pose. C’est un voyage au cœur de la création architecturale que nous vous proposons, au travers de projets primés ou remarqués pour leur gestion résolument novatrice de la lumière.

Ce concept s’inscrit donc autour de la problématique de nombreux bâtiments publics et commerciaux comme les écoles, les hôpitaux, les centres commerciaux et les bureaux qui manquent de ventilation et de lumière naturelles. Les bâtiments représentant 40 % de la consommation totale d'énergie de l'Union Européenne. Leur efficacité énergétique, notamment par le recours aux énergies renouvelables, est considérée comme l'une des mesures les plus rentables pour réaliser de très importantes économies d'énergie et réduire les émissions de CO2.

"La nécessité de faire entrer la lumière du jour et l'air frais dans les bâtiments devient un enjeu stratégique, d'où l'importance de proposer une solution prête à l'emploi. Les Verrières Modulaires VELUX répondent à cette exigence. Adaptées au marché du neuf comme à la rénovation, elles représentent une solution pertinente dans une situation économique mouvementée", déclare Jørgen Tang-Jensen.

Le lancement des Verrières Modulaires VELUX est prévu en 2012 au Danemark, en Suède et au Royaume-Uni en 2012, suivis par la Belgique, la Hollande, l'Allemagne et la France en 2013.

Des exemples :

RÉHABILITATION D’UNE FERME EN LIEU CULTUREL

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Recherches technique, esthétique, mais aussi historique sont unies à la maison Folie de Villeneuve-d’Ascq. Quand l’authenticité rejoint totalement la modernité. « Mariage complexe entre des objectifs exceptionnels et un contexte très délicat, la réhabilitation de la « Ferme d’en-haut » en Maison Folie a donné naissance à deux extensions : une petite salle de spectacles et un bâtiment d’ateliers pour Artistes. Séparées par un bassin rappelant les anciennes douves, les constructions nouvelles encadrent le bâtiment existant et viennent recréer le traditionnel miroir de lumière, si particulier aux Flandres. L’ensemble de ce projet haut en couleur bénéficie ainsi d’une véritable tonalité chaleureuse. Sans parler des 25 000 visiteurs attendus chaque année, la Maison Folie devait être opérationnelle pour l’événement Lille 2004, capitale Européenne de la culture.

Pour concevoir ce projet de 1 500 m2 utiles, la négociation avec les architectes des Bâtiments de France a été partie intégrante de la démarche. L’idée de percer le toit, avec les fenêtres VELUX, pour apporter la Lumière naturelle s'est rapidement imposée comme la solution la plus judicieuse et très raisonnable en terme de budget qui n’était ni très élevé ni extensible à volonté : le vrai garde-fou de cette Maison Folie ! »

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“Les fenêtres VELUX m’ont semblé être la solution la plus judicieuse.” Jean-Luc Leclercq (Architecte). Créée en 1997 et structurée aujourd’hui autour de 17 personnes, l’agence Quatr’a architectes est née de la rencontre de 2 architectes passionnés : Xavier Bouffart et Jean-Luc Leclercq. Leur solide réputation s’est bâtie grâce à leurs convictions environnementales, et se traduit par leur implication dans la démarche HQE. Elle les a conduits à collaborer à la construction du lycée de Caudry, à réaliser un bâtiment universitaire à Lille ou encore à remporter le projet de logement lors de la consultation Euralille 2, “le bois habité”.

Lieu : Villeneuve-d’Ascq (59)

Maîtrise d’ouvrage : Ville de Villeneuve-d’Ascq

Architectes : QUATR’A Architectes Xavier Bouffart et Jean-Luc Leclercq

Entreprise : GENTY (Saint Laurent-Blangy)

Produits :

1 verrière modulaire composée de :

- 4 fenêtres électriques GGL INTEGRA®, taille M04

- 4 fenêtres électriques GGL INTEGRA®, taille M06

- 4 fenêtres électriques GGL INTEGRA®, taille M08

6 verrières modulaires composées de 3 fenêtres

4 verrières modulaires composées de 2 fenêtres.

Photographes :

M. Horric Lingenheld et Christophe Hespel (4A)

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RÉHABILITATION D’UN BÂTIMENT PUBLIC – RECTORAT DE MONTPELLIER

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Transformer une bibliothèque en bureaux pour le compte du rectorat de Montpellier, sans toucher à l’histoire du bâtiment, le tout avec des moyens relativement limités... l’étude méritait d’être menée.

Un défi relevé en partie grâce aux fenêtres VELUX...

« La réhabilitation de la bâtisse destinée à accueillir le rectorat de Montpellier n’a pas été chose facile, principalement à cause d’un budget très serré. Les locaux offraient pourtant des perspectives aussi nombreuses qu’ambitieuses. Initialement, le bâtiment de 1500 m2 renfermait la bibliothèque universitaire. Ses atouts principaux résidaient dans des hauteurs sous plafonds impressionnantes, de 4 ou 5 mètres, ainsi que des fenêtres magnifiques avec des baies imposantes de plus de 3 mètres. L’architecture était donc très intéressante, même si quelques soucis techniques étaient à prendre en compte, comme le sol qui comptait des dizaines de niveaux différents. Nous avons donc réalisé un faux plancher pour homogénéiser le tout et respecter la réglementation, notamment en matière d’accès aux personnes handicapées. Notre parti pris a été de conserver tous ces espaces et de ne pas banaliser les bureaux. Nous avons donc laissé brut ce qui était possible, par exemple la menuiserie. Nous avons également conservé tous les matériaux, verre, pierre, métal, bois, en les blanchissant pour unifier l’ensemble. Il est vrai que les moyens ne permettaient pas de tout changer et nous avons donc préféré restaurer.

L’édifice comportait une petite coupole en verre surmontée d’une verrière qui a été transformée en fenêtres de toit grâce aux produits VELUX. Nous avons créé un petit atrium pour faire communiquer les niveaux entre eux. Ainsi la lumière pénètre en cascade dans le bâtiment.

Velux5.jpg

Cet éclairage révèle les volumes très larges et VELUX nous a été pour cela d’une très grande utilité. En effet, vu la hauteur importante de 10 mètres, il était nécessaire de trouver un moyen pratique d’ouvrir et de fermer les fenêtres. Le système de motorisation VELUX s’avérait ici être absolument idéal. De même pour l’occultation : reliés à l’horloge, les volets roulants se mettent en route dès que les locaux ne sont plus utilisés. L’offre technique était donc très adaptée et nous a évité bien des tergiversations. L’intégration des fenêtres a été facilitée par l’implication du bureau d’études VELUX qui s’est déplacé sur le chantier pour bien évaluer nos besoins.

L’ancienne bibliothèque a livré le meilleur d’elle-même pour réussir sa mutation en bureaux pour le compte du rectorat de Montpellier ».

“La lumière pénètre en cascade au cœur du bâtiment et permet de faire communiquer les niveaux que nous avons conservés. ” Jean-Luc Lauriol (Architecte). 1977-1997 : exercice libéral. Depuis 1987 : enseignant à l’École d’architecture de Montpellier. 1997 : création de l’agence d’architecture Jean-Luc Lauriol en association avec Marc Monti. Halle couverte Jacques Cœur à Montpellier. Médiathèque de Saint-Jean-de-Védas. En cours divers projets de logements, projets scolaires et universitaires, projets de bureaux et médiathèque.

Lieu : Montpellier (Hérault - 34)

Maîtrise d’ouvrage : Rectorat de Montpellier

Architecte : Jean-Luc Lauriol

Entreprise : STRUCTURES BOIS - COUVERTURE S.A. (Le Cres)

Produits : Verrière en lumière zénithale composée de :

- 9 fenêtres électriques GGL INTEGRA®, vitrage faible émissivité double (thermique été + hiver)

- 9 volets roulants éléctriques SML.

Photographe : Paul Kozlowski 

Velux6.jpg

 

Crédits photographique @ Velux

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25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 06:46

L-atout-du-verre-architectural-en-europe-.jpgL’atout du verre architectural en europe…

Toujours dans le baromètre européen d’architecture, après « Les options plus économiques optées par les prestataires dans le marché de la construction », « L’influence des architectes dans le processus décisionnel du choix de matériaux d'isolation et de façade », les architectes néerlandais prévoient clairement d'utiliser moins souvent les stratifiés à haute pression en tant que matériaux de façade. Ils préfèrent employer du verre architectural. 52 % d'entre eux pensent utiliser davantage le verre architectural dans les façades dans les cinq prochaines années. Ce sont quelques-unes des conclusions du rapport du 2e trimestre 2012 du Baromètre européen de l'architecture, une étude trimestrielle réalisée auprès de 1 200 architectes dans 6 pays européens. Les architectes européens ont un rôle d'indicateur de tendance pour les activités de la construction. 

Bien que l'utilisation des stratifiés à haute pression dans les façades diminuera aux Pays-Bas sachant que 53 % des architectes néerlandais pensent limiter leur utilisation, les architectes britanniques et italiens ne prévoient pas d'utiliser ce matériau moins souvent dans les années à venir. Un tiers des architectes allemands et français pensent même utiliser davantage les stratifiés à haute pression.

Le verre architectural jouit d'une certaine popularité chez les architectes de tous les pays. La plupart d'entre eux pensent utiliser plus souvent le verre dans la conception des façades. Tous les autres indiquent qu'ils ne vont certainement pas l'utiliser moins souvent. Aux Pays-Bas, en Espagne et en Italie notamment, la part des architectes pensant utiliser plus souvent le verre architecture est plus élevée que celle déclarant ne pas vouloir changer leurs habitudes. Bien qu'une plus grande utilisation du verre dans l'enveloppe des bâtiments n'est pas une priorité pour les architectes au moment de la conception, la transparence du verre est une caractéristique tellement unique que son utilisation sera assurément maintenue ou croissante. Cela s'explique également par la tendance à utiliser de plus en plus les matériaux laissant passer la lumière naturelle.

L'utilisation des briques dans les façades varie selon les pays. Cela est en grande partie lié aux techniques de construction traditionnelles des différents pays. Dans la plupart des pays, les architectes sont persuadés qu'ils vont continuer à utiliser les briques en tant que matériau de façade aussi souvent que maintenant. Par exemple, 22 % des architectes britanniques et 32 % des architectes fran53çais déclaren1t3 que l'utilisation de ce matériau va même augmenter dans les cinq prochaines années. Seulement 2 % de architectes Britanniques pensent que l'utilisation des briques dans leurs projets diminuera.

Il semble y avoir peu de potentiel pour les briques sur les marchés espagnols et italiens. Seulement 5 à 6 % des architectes espagnols et italiens prévoient une augmentation de leur utilisation.

Il y a de nombreux autres résultats et tendances des développements du marché de la construction européen qui se trouvent dans le Baromètre européen d'architecture, une étude internationale menée auprès de 1 200 architectes en Europe. Quatre fois par an, cette étude est menée en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas par Arch-Vision. En plus des indicateurs5de prévision des volumes de construction européens, un sujet spécifique est mis en évidence chaque trimestre. Le sujet au T2 2012 est « Conception architecturale et tendances technologiques».

Les architectes représentent non seulement une source fiable pour les informations relatives aux volumes de construction futurs, mais leur rôle est également très important étant donné qu'ils influencent considérablement la manière dont les projets sont créés et les matériaux qui sont utilisés.

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 13:00

Projet ressources7Conceptuel le Projet ressources de Technal et de Jacques Ferrier Architectures …

TECHNAL et JACQUES FERRIER ARCHITECTURES se sont associés pour lancer un programme de recherche, le projet ANR-PREBAT soutenu par l’ADEME*, baptisé PROJET RESSOURCES (Redéfinition des Enveloppes des bâtiments par Optimisation et Utilisation Rationnelle des Composants générateurs d’Électricité Solaire) en partenariat avec EDF, TENESOL et les Laboratoires du CNRS-CETHIL et du LEEVAM. Il s’inscrit dans une démarche de rénovation et d’amélioration énergétique des bâtiments existants, mis en œuvre dans le cadre du Grenelle de l’Environnement et visant à réduire de 38 % les émissions de CO2 d’ici 2020.

Ce nouveau système de double peau favorise l’isolation et refroidit les composants photovoltaïques dont le rendement dépend de la température. Il assure également une meilleure performance acoustique.

- Améliorer la performance énergétique du bâtiment en rénovation pour répondre aux objectifs fixés par le Grenelle de l’Environnement.

- Identifier des solutions permettant l’intégration optimale de composants photovoltaïques dans l’enveloppe des bâtiments.

Le projet allie performance, esthétique et simplicité de mise en œuvre. Cette configuration permet de valoriser la lame d’air entre la seconde peau et le bâtiment, afin d’optimiser le rendement énergétique du photovoltaïque et la performance thermique du bâtiment.

Projet ressources

L’agence JACQUES FERRIER ARCHITECTURES a toujours vu dans la technique, le moyen de développer une architecture innovante et considère de ce fait la technologie comme une source de potentialités et non comme une contrainte. Cette recherche est pour l’agence l’occasion de développer une nouvelle matérialité des façades double-peau en les associant aux systèmes solaires photovoltaïques.

La morphologie de la façade, sa trame, les dimensions des éléments, la coloration des divers composants (cellules photovoltaïques, vitrage et profilés aluminium), le travail sur la gradation entre la transparence et l’opacité, le principe de « pixellisation », sont entre autres les bases de la réflexion architectonique de ce projet.

L’aboutissement de la recherche a conduit à développer deux types de façades novatrices :

- La première est une peau qui se plisse pour adapter au mieux l’enveloppe du bâtiment à son contexte et générer une esthétique dynamique (voire cinétique). Plissé vertical pour les orientations Est ou Ouest, horizontal pour les orientations Sud. Le système proposé permet une modulation aisée de l’angle des panneaux de façades. Les éléments recevant les cellules servent également de brise-soleil, les autres cadrent des vues sur l’extérieur.

- La seconde associe façade et toiture de manière continue. Elle ne forme qu’une seule peau pouvant venir en surimposition sur des habitations particulières, afin d’améliorer leurs performances thermiques et énergétiques. L’organisation des cellules et leur couleur créent une pixellisation surprenante qui renouvelle l’image de la maison individuelle. La façade plissée améliore les qualités techniques du bâtiment (neuf ou réhabilité) et produit une nouvelle esthétique architecturale.

 Projet ressources1

Le bâtiment est habillé « d’une double peau donnant de la profondeur, jouant avec les niveaux de transparence et capable de s’adapter à chaque projet », souligne Jacques Ferrier.

La double peau laisse passer la lumière naturelle, joue un rôle de protection solaire et produit simultanément de l’énergie. Véritable bouclier thermique, elle assure la régulation de la température intérieure et permet de limiter les besoins en chauffage et en rafraîchissement.

Frontière entre l’intérieur et l’extérieur, la double peau réalisée par TECHNAL est personnalisable et laisse libre cours à l’imagination et à la créativité de l’architecte qui va redonner un nouveau visage au bâtiment. Il pourra choisir la position des plis, horizontaux ou verticaux, en fonction de l’orientation et de la situation du bâtiment.

Le programme de recherche a démarré en 2009 et doit se poursuivre jusqu’à fin 2012. Durant la première année les partenaires scientifiques, le CNRS et EDF ont établi des modèles théoriques simulant le comportement de la lame d’air entre les deux parois. En 2009 et 2010, JACQUES FERRIER ARCHITECTURES et TECHNAL se sont consacrés à l’intention architecturale, au design et à la conception d’un système constructif. Jusqu’à mi-2011, le centre de recherches de TECHNAL a fabriqué et installé, avec un ALUMINIER AGREE TECHNAL, les doubles peaux innovantes, grandeur nature. Les partenaires scientifiques ont déjà mis en place toute leur instrumentation. La phase des mesures va démarrer et durer une année complète.

La double peau isole le bâtiment, refroidit naturellement les composants photovoltaïques dont le rendement dépend de la température et assure une meilleure performance acoustique.

Projet ressources2

Le design au service de la performance

JACQUES FERRIER ARCHITECTURES a imaginé un système de construction mettant en scène les panneaux photovoltaïques comme les pixels d’une image pour réaliser une création originale. Chaque module photovoltaïque est composé d’une quantité variable de cellules qui détermine les différents niveaux de transparence.

Pour laisser libre cours à sa créativité, l’architecte peut à la fois choisir la couleur de la cellule, celle du vitrage et de la structure aluminium. TECHNAL a créé une paroi aluminium plissée, horizontale ou verticale, permettant d’ajuster la variation de l’angle de la paroi pour optimiser la surface exposée au soleil.

Projet ressources3

Résidentiel : extension de l’habitat

La version résidentielle de la double peau « Ressources » est au cœur des solutions que TECHNAL propose pour l’extension de l’habitat. Une offre personnalisée qui présente différents degrés de transparence, une harmonie entre les finitions aluminium TECHNAL aux effets de matière exclusifs et des couleurs de remplissages verriers photovoltaïques. Les modules vont jouer la transparence ou l’opacité, préservant l’intimité des usagers au sein du nouvel espace intérieur. La trame dessinée par les cellules photovoltaïques assure également le rôle de protection solaire pour le confort des utilisateurs. L’électricité produite par la façade contribue à la performance énergétique de l’habitation et à sa classification « BBIO ». Dans les prototypes réalisés, de 50 et 60 m2, la double peau englobe la toiture.

Projet ressources4

La double peau photovoltaïque est équipée de capteurs de température, de vitesse d’air et de flux solaire. Cette instrumentation permet à EDF et aux équipes scientifiques du projet ADEME de mesurer précisément son comportement thermique et celui de l’espace tampon. L’impact sur la production photovoltaïque et sur l’ambiance dans le bâtiment est également estimé. Tous les partenaires du projet pourront en tirer des conclusions pour améliorer, finaliser et mettre sur le marché cette solution.

Projet ressources5

Une double peau originale, particulièrement adaptable à son environnement a été conçue et mise en place. TECHNAL a développé une structure rotative qui permet de réaliser les « plis » imaginés par JACQUES FERRIER ARCHITECTURES, tout en privilégiant la simplicité du système constructif. L’aspect plissé présente un double intérêt :

- architectural : animer la façade,

- technique : orienter au mieux les panneaux photovoltaïques pour capter le rayonnement solaire.

Le monitoring du comportement électrique et thermique de l’élément de façade repose sur l’instrumentation mise en place par le CETHIL, LOCIE et TENESOL :

- plus de 40 thermocouples sont positionnés à l’extérieur et à l’intérieur de la double peau,

- plus de 20 capteurs bi et omnidirectionnels mesurent constamment le flux entre les deux peaux,

- deux pyranomètres (disques blancs situés à droite de la façade, en parties haute et basse) évaluent le rayonnement global reçu par la façade,

- une station météo et un suntracker enregistrent la radiation solaire directe et diffusent la vitesse et la direction du vent, la température, l’humidité...

- la production réelle, la tension et l’intensité des modules photovoltaïques sont mesurées en temps réel,

- plus une mesure par capteur toutes les 5 minutes intégrée à l’intérieur du bâtiment évalue les apports de la double peau en matière de confort.

Les résultats expérimentaux in situ obtenus sur cette façade ventilée naturellement vont compléter ceux des études réalisées en amont sur les écoulements de convection naturelle en canaux. Ces dernières ont été menées en laboratoire (associant le CETHIL et LOCIE) dans des conditions contrôlées. Elles visent à identifier les configurations d’intégration favorisant les échanges de chaleur et à améliorer le rafraîchissement passif des composants photovoltaïques.

Projet ressources6

crédits photographiques : © Jacques Ferrier Architectures / images Ferrier Production

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 08:15

recycler-le-verre.jpgRecycler le verre différemment …. !!!!

Verre Avenir, Département Communication de la Chambre Syndicale des Verreries Mécaniques de France, qui a pour mission d’établir la promotion du verre d’emballage et de son recyclage vient d’initier une campagne publicitaire, trois films web pour réveiller et sensibiliser les trieurs de demain, Verre Avenir, acteur majeur de la communication sur le recyclage du verre, propose trois spots ludiques et décalés sur le processus de reproduction du verre. 

« Depuis les débuts du recyclage du verre d’emballage, nous avons le même message : pourquoi recycler, comment recycler... C’est important de le faire, de ne jamais laisser retomber la pression ; c’est le cas pour toutes les causes qui réclament un changement massif de comportement. L’idée est de persévérer sans donner l’impression de rabâcher. Nous sommes partis d’un constat : le seul moyen de reproduire le verre est de le recycler... et pour avoir « reproduction » il faut une rencontre ! Quoi de mieux que de jouer sur les codes du cinéma, pour raconter les plus belles histoires d’amour ! » explique Michel Gardes, Président de la Fédération des Chambres Syndicales de l’Industrie du Verre.

Postée sur les principaux supports vidéo, cette web trilogie a fait l’objet d’une campagne de teasing auprès des blogueurs écologie, culinaires et généralistes, relayée par de l’achat média sur les principaux réseaux sociaux. En investissant le web, la campagne initie une nouvelle ère dans la communication liée au recyclage du verre, en rupture de ton et résolument jeune ! Elle met en scène deux petits bocaux en verre dans une usine de recyclage qui se racontent l’histoire de leurs parents : leur rencontre, leur coup de foudre, leur amour... bref, tout ce qui a précédé leur naissance.

Voici leurs histoires :

 

Les Bobos, une intrigue Verrière et sentimentale

(1 min 30)

Un petit pot de verre raconte à un autre petit pot de verre la rencontre entre son père, un bel écossais de 20 ans d’âge et sa mère, une provençale extra-vierge. Sur fond de jazz, dans une cuisine, THE coup de foudre ! Totalement IN LOVE, ses parents décident de tout partager en passant à l’acte... du recyclage.

 

 

 

Les rockers, une comédie Sex & Trash & Rock N’ Roll

(54 sec)

Une bouteille raconte à un petit pot de verre la rencontre entre sa mère, une belle blonde alsacienne, et son père, un petit cow-boy nerveux, jusqu’au jour de sa conception. Ambiance HOT piquante pour ses parents qui découvrent l’art du recyclage et atteignent le 7ème ciel dans un bar sur fond de musique Western !

 

 

 

Les Babas, un film de Verre Libre et d’amour aussi

(1 min 05)

Un bocal raconte à un autre petit bocal la rencontre entre son père, un fermier du terroir et sa mère, beauté de la nature, et comment il a été conçu. C’est lors d’un pique-nique que ses parents se rencontrent. Ils sautent le pas... du recyclage un peu plus tard au détour d’une balade en vélo.

 

 

 

POURQUOI RECYCLER ?

LE VERRE SE RECYCLE À 100%, À L’INFINI ET SANS AUCUNE PERTE DE QUALITÉ. LA FABRICATION DE VERRE D’EMBALLAGE À PARTIR DE VERRE DE COLLECTE (CALCIN) NÉCESSITE MOINS D’ÉNERGIE QUE LA FABRICATION DE VERRE À PARTIR DE MATIÈRES PREMIÈRES : ELLE EST DONC RESPECTUEUSE DE L’ENVIRONNEMENT ET PERMET D’ÉCONOMISER DES RESSOURCES NATURELLES DE FAÇON CONSÉQUENTE. UN SANS FAUTE !

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 08:10

TechnalTechnal, à Batimat, présente sa nouvelle vitrine …

Dans les méandres du Salon Batimat, Technal, spécialiste des systèmes constructifs en aluminium, a dévoilé ses ‘’vitrines’’ innovantes, pratiques et environnementales.

Pour présenter sa nouvelle génération de produits, axés sur la gestion des apports solaires, l’intégration du végétal, la démocratisation de la motorisation, l’accessibilité et la création de nouvelles couleurs, Technal s’est entouré de l’architecte urbaniste Nicolas MICHELIN de l’agence ANMA (Agence Nicolas Michelin & Associés) pour concevoir le Stand. Une vitrine avec un extérieur minimaliste et un intérieur convivial.

TECHNAL partage avec certains grands architectes, l’idée que ce n’est pas le démonstratif qui fait la qualité d’un bâtiment, mais au contraire son sens dans le paysage et sa capacité d’effacement. Spécialiste des menuiseries aluminium, TECHNAL s’intéresse tout particulièrement à la frontière subtile entre les principes esthétiques et écologiques : une séparation qui ne traumatise pas le site, crée des continuités végétales et capte les énergies solaires...

C’est cette vision que révèle Nicolas MICHELIN, créateur du stand, et largement relayée par TECHNAL qui, avec ses menuiseries au design unique et aux lignes minimalistes, encourage ce bien-être vu de l’intérieur.

Technal stand

Nicolas MICHELIN intègre le stand TECHNAL dans son environnement : le salon BATIMAT. Il crée, vu de l’extérieur, un écrin sobre et ordinaire, laissant découvrir un intérieur extraordinaire, pour mettre en scène et faire vivre les produits de la marque. Sa mission va au-delà de la production d’un stand normalisé et figé, il propose un projet qui offre l’essentiel et qui laisse des opportunités à l’imprévisible, à la vie, pour redonner à l’architecture une capacité d’enchantement.

Le stand est à l’image d’une villa, avec un patio intérieur arboré ; les façades sont une succession de bandes opacifiées en brise-soleil aluminium et de bandes translucides exacerbant le contraste occultation, transparence. La façade sombre, bleu nuit, préserve le mystère. Seules les cimes des arbres laissent imaginer un intérieur différent, incitant le visiteur à pénétrer à l’intérieur du stand et se laisser surprendre.

En périphérie, le visiteur peut déambuler dans un espace d’exposition couvert comme une galerie, où les produits sont présentés avec soin et élégance. La partie droite du stand, est exclusivement réservée à la présentation de l’ensemble des innovations-produits.

Technal Stand1

Le stand s’organise autour du patio central, un jardin enchanté, spacieux et orné de Bucidas de six mètres de haut. Cet espace hors du temps permet au visiteur d’échanger, de s’évader dans une ambiance conviviale et calme. Il accède à un espace protégé des flux incessants du salon dans une ambiance contenue. Cet écrin de verdure invite au bien-être et à la détente et vient rompre avec les codes sonores et visuels habituels et attendus d’un salon. En fermant les yeux, il pourrait presque entendre le sifflement des oiseaux et percevoir une douce brise balayant son visage.

L’accès du visiteur se fait par une coursive périphérique figurant l’intérieur du bâtiment avec un sol doux et clair et un plafond matérialisé par un velum. Cette couronne est ceinturée par des coulissants qui s’ouvrent sur un patio arboré, estompant naturellement la frontière entre l’intérieur et l’extérieur.

Au programme, les dernières offres de coulissants, de fenêtres, de portes, de systèmes d’occultation ainsi que les tout nouveaux concepts en mutation :

LUMEAL motorisé : une baie coulissante grandeur nature. Exclusif sur le marché, LUMEAL MOTORISE se démarque par ses larges ouvertures (jusqu’à 4 mètres pour les dimensions des châssis). Ce produit se destine au marché résidentiel haut de gamme : villas et résidences hôtelières ou pour personnes âgées. Ses grandes surfaces vitrées et l’importance de son clair de vitrage (Sw = 0,55) permettent de maximiser les apports de lumière naturelle à l’intérieur des pièces. Conforme à la Réglementation Thermique 2012, il entre également dans les critères des Bâtiments Basse Consommation (BBC). Les tests à l’air, à l’eau et au vent (A4 - E6A - VB2) menés en laboratoire démontrent une grande solidité face aux éléments.

Technal Soleal

SOLEAL coulissant : Dernière déclinaison de l’offre SOLEAL, ce coulissant exclusif est basé sur un dormant d’une largeur de 55 mm. A vocation universelle, il s’applique à tous les projets actuels, qu’ils soient résidentiels ou tertiaires et répond aux nouveaux critères du marché en termes d’exigence thermique et de perméabilité. Sa finesse des masses, associée aux profilés de grande inertie (châssis deux vantaux pouvant atteindre L. 4,3 x H. 2,6 m) participe à la réalisation de baies s’étirant du sol au plafond. Esthétique, performante et étanche à l’air, cette nouvelle référence permet aux architectes d’imaginer et de réaliser des projets en neuf comme en rénovation. SOLEAL COULISSANT présente des performances thermiques qui en font un véritable bouclier. Le confort intérieur des occupants est optimisé, en été comme en hiver avec un coefficient thermique Uw qui peut atteindre 1,4 W/m2.°K et un facteur solaire Sw de 0,46. La perméabilité à l’air a également fait l’objet d’un soin particulier. Grâce à ce traitement spécifique, les tests AEV réalisés avec un châssis deux vantaux (L. 3 x H. 2,5 m) montrent un niveau de fuite inférieur aux seuils imposés par les critères BBC*. Prévue pour 2012, la version coupe droite avec une largeur de dormant de 65 mm, offrira une performance thermique avec un Uw de 1.3 W/m2.°K**, grâce à des ruptures de pont thermique de 40 mm et des masses visibles encore plus fines.

Et plus encore sur cette gamme SOLEAL tournée vers l’avenir …

 

Façade GEODE, une enveloppe des bâtiments

Présent sur le marché des façades avec son offre GEODE, TECHNAL présente deux nouveaux modèles de 52 et 62 mm. Destinées à l’habillage extérieur des bâtiments tertiaires, ces innovations sont étudiées pour donner aux architectes des moyens d’expression alliant esthétisme, inertie et nouveaux systèmes d’ouverture.

Elles permettent d’inscrire les constructions dans une démarche Haute Qualité Environnementale (HQE), avec un Ucw de 1,3 à 1,1 W/m2.K (avec Ug = 1,1 W/m2.K).

Adaptées aux grands chantiers, elles se distinguent par leurs nouveaux profilés d’ossature qui facilitent l’intégration de châssis pouvant mesurer jusqu’à 2,90 m. Leur prise de volume maximale (MX52 ou 62) peut atteindre jusqu’à 44 mm pour les parties fixes.

- La version 52 mm accueille 3 profilés supplémentaires qui répondent aux contraintes dimensionnelles et sont adaptables sur des structures bois ou acier.

- L’offre 62 mm est renforcée par 2 profilés de structure et un système de demi-capot recréant un aspect « façade cadre », très apprécié des architectes.

Le confort et la sécurité des occupants des bâtiments ont également été pris en compte avec la possibilité d’installer des protections solaires extérieures. La problématique de la circulation de l’air est gérée grâce à un système d’ouverture parallèle. La ventilation s’effectue naturellement avec des châssis ouvrants parallèles qui s’ouvrent vers l’extérieur, évitant tout risque d’intrusion ou de chute d’une personne.

Technal Geode

 

SUNEAL brise-soleil végétalisé : vers un nouveau langage des façades

Ce concept de brise-soleil répond à une double exigence : le besoin de protection solaire et la diminution de la chaleur émise par réflexion (infiltration plus lente avec une absorption estimée à 90 %). Innovant (dépôt de brevet en cours) et original dans sa conception, le produit accueille des intérieurs de lames végétalisées. Adapté aux maisons individuelles et aux bâtiments, il a été développé en partenariat avec des pépiniéristes pour le choix de plantes résistantes, été comme hiver. Elles changent de couleur (vert ou rouge) selon les saisons, se régénèrent naturellement, apportent de la fraîcheur et diminuent la chaleur émise par la réflexion des lames que ce soit en intérieur ou en extérieur.

Ce concept confère une dimension esthétique inédite aux façades. Il répond à une attente environnementale en totale cohérence avec les exigences de la RT 2012. Modulaire, son installation peut s’effectuer à la verticale (fixé à une façade ou un mur-rideau GEODE) ou à l’horizontale comme un auvent.

Principe de fonctionnement

SUNEAL BRISE-SOLEIL VEGETALISE nécessite peu d’entretien. Le modèle classique est proposé sans arrosage assisté, les plantes vivaces étant résistantes dans la majorité des régions. Une version avec arrosage et drainage « assistés » intègre un système d’arrosage « goutte à goutte » relié soit à une alimentation programmée soit à un système de récupération d’eau de pluie. Le captage de l’eau est assuré par des ventelles situées sur le toit des bâtiments, au-dessus de bacs de grandes dimensions. Elles jouent un rôle important pour limiter la chauffe de l’eau, éviter son évaporation et capter la condensation et la rosée.

Le déclenchement de l’arrosage est directement relié à une sonde hydrométrique. L’utilisateur conserve la maîtrise du débit d’eau grâce notamment à la mise en place de deux alertes (basse et haute) :

En cas d’absence prolongée, une minuterie intégrée permet de programmer les périodes d’arrosage.

En cas de raréfaction de la pluie, le système est conçu de manière intelligente avec la mise en place d’une arrivée d’eau branchée sur le réseau.

Le drainage se fait naturellement vers l’extérieur sur le modèle classique. Sur la version avec drainage assisté, un tube d’évacuation situé dans chaque lame, un usinage et une bague d’étanchéité permettent de faire sortir le tube et de le relier à un tuyau d’évacuation de l’eau vers le bas de la façade.

Technal-suneal-vegetalise.jpg

NOTEAL motorisé volet coulissant : accessibilité et maîtrise de la lumière naturelle

Cette nouvelle version du volet NOTEAL se démarque par l’intégration d’un moteur qui simplifie la manœuvre. Réponse concrète aux problématiques d’accessibilité, le produit est compatible avec la RT 2012 et conforme à la loi du 11/02/2005 relative à l’accessibilité du bâti.

L’application de ces nouveaux équipements techniques améliore le confort de vie des Personnes à Mobilité Réduite. Modulable et réalisable dans de grandes dimensions, NOTEAL permet de multiples remplissages (pleins, persiennés et lames amovibles) adaptés à chaque style architectural et au type d’occultation recherché (totale ou partielle). Déclinable sur des fenêtres ou des portes-fenêtres allant d’un à quatre vantaux, ce volet assure une bonne gestion de la lumière grâce au filtrage des rayons du soleil. Il facilite également le réglage de la ventilation nocturne/diurne.

Technal Noteal

Et bien d’autres concepts en gestation …

 

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 08:20

Hybrid

QUANTUM GLASSTM offre trois installations « HYBRID » à Batimat …

À l’occasion du salon BATIMAT 2011 (du 7 au 12 novembre), QUANTUM GLASS présentera ses nouvelles offres de verres actifs dédiés aux mondes de la façade (offre Hybrid Skin) et de l’architecture intérieure (offre Hybrid Space).

 

VERRES ACTIFS DÉDIÉS AUX FAÇADES DES BÂTIMENTS

Hybrid skin, gamme de solutions de verres actifs QUANTUM GLASSTM dédiée à la façade, vise à abolir les façades en tant que barrière physique et à renforcer les connections et interactions entre les environnements intérieur et extérieur.

Contrôle solaire dynamique, gestion de l’intimité, chauffage intégré ou support de création digitale ou lumineuse... Le verre devient une matière hybride qui transforme les façades en enveloppes architecturales « intelligentes », capables d’interagir de manière dynamique avec l’environnement climatique et urbain. La façade s’apparente dès lors à une seconde peau transparente, une membrane idéale, évolutive, protectrice et communicante.

 

SUN MASTER skin

Hybrid SUN MASTER skin

Une façade de verre conçue comme une peau protectrice, transparente et intelligente, connectée à l’environnement. Une enveloppe active évoluant en fonction des changements climatiques et contraintes liés aux effets du soleil (éblouissement et chaleur). Au delà de la suppression des systèmes d’occultation mécaniques (stores) ou fixes (pare-soleil), les solutions SUN MASTER skin de QUANTUM GLASS permettent aux architectes et exploitants de réduire les systèmes de climatisation et de maîtriser la facture énergétique de leur bâtiment (en climatisation, éclairage artificiel) tout en augmentant le confort des occupants.

• Technologie présentée : ESG (ELECTROCHROME SageGlass)

La technologie ESG assure une gestion dynamique des apports lumineux et thermiques des façades et toits vitrés en permettant à l’utilisateur de contrôler le niveau de teinte du verre sans altérer la vision vers son environnement. Les vitrages se teintent automatiquement ou manuellement pour contrôler le niveau de lumière naturelle et de chaleur d’un intérieur, rendant plus facile la conception de bâtiments écologiquement responsables au design attrayant avec une exceptionnelle performance énergétique.

 

HEAT skin

Hybrid HEAT skin

Une enveloppe transparente et chauffante qui évite tout effet de paroi froide, élimine tout risque de condensation, et apporte le confort et la sécurité sanitaire d’un chauffage radiant. Les solutions HEAT skin permettent aux architectes d’augmenter les apports de lumière naturelle à l’intérieur des bâtiments tout en bénéficiant d’une chaleur radiante, saine et confortable sur l’ensemble des surfaces vitrées.

• Technologie présentée : EGL (E-GLAS)

Particulièrement adapté aux univers froid et/ou humides (salles de bain, piscines,..), la technologie EGL se compose d’un double vitrage chauffant et transparent qui isole du froid extérieur, élimine la sensation de paroi froide et les effets de condensation. En toiture, les verrières peuvent être équipées d’une fonction « déneigement automatique ».

 

PRIVACY skin

Hybrid PRIVACY skin

Une façade de verre comme une peau virtuelle, capable de gérer la transparence à la demande et de manière instantanée selon les besoins de l’utilisateur en termes d’isolement, de privatisation ou de confidentialité... sans altération de la transmission lumineuse. Des technologies dynamiques qui vont au-delà de la simple suppression des voilages et autres filtres mécaniques, en établissant, via une interface tactile, une nouvelle relation entre l’habitant et son enveloppe spatiale.

• Technologie présentée : PVL (PRIVA-LITE)

La technologie PVL est un double vitrage isolant, thermique et phonique, qui intègre une matrice à cristaux liquides, capable de gérer la transparence à la demande : passage instantanée d’un état clair à translucide et inversement. Au delà de la simple suppression des voilages et autres filtres mécaniques, les solutions PRIVACY skin de QUANTUM GLASS permettent de répondre aux besoins d’intimité de l’utilisateur (privatisation, confidentialité, concentration...) sans altération de la transmission lumineuse.

 

DIGITAL skin

Hybrid digital skin

Une façade de verre transparente imaginée comme une peau digitale pour les bâtiments. Support de création multimédia, l’enveloppe architecturale interagit de manière dynamique avec l’espace urbain et ses habitants selon des scénarios visuels interactifs. Des technologies efficaces qui ouvrent de nouvelles perspectives créatives aux architectes à la recherche de solutions verrières pour des façades graphiques, lumineuses et communicantes.

• Technologie présentée : DMF 2.0* (Digitale Media Facade 2.0)

Répondant aux normes standards des verres de façade (contrôle solaire, isolation thermique et phonique...) la technologie DMF 2.0 est un double vitrage de grande dimension qui intègre une matrice de leds permettant de diffuser tout type de contenu numérique (vidéos, images, graphismes ...) sans occulter la vue. L’intégration de la matrice dans la paroi de verre présente une solution architecturale élégante tant d’un point de vue extérieur qu’intérieur.

*Technologie développée en partenariat avec la société Citiled.

 

LIGHT skin

Hybrid LIGHT skin

Une solution verrière complète et durable qui s’éclaire par elle-même, LIGHT skin offre des possibilités infinies pour mettre en valeur la façade de n’importe quel bâtiment. Avec LIGHT skin, l’entière surface du vitrage s’illumine et créée un éclairage graphique qui intensifie l’identité artistique d’une façade. Interactif et modulable, LIGHT skin permet d’adapter l’ambiance lumineuse à volonté tout en gardant une transparence relative à l’état « off ».

• Technologie présentée : LIG (LEDinGLASS)

La technologie LIG est un double vitrage composé d’une sérigraphie et de LEDs sur la tranche. La lumière, diffusée dans l’épaisseur du vitrage, est restituée sur les 2 faces par une trame ou une sérigraphie personnalisable. L’efficacité de la technologie LIG est ainsi liée à la conjonction de 3 composantes : la qualité optique du verre, la composition de la sérigraphie de l’email et la sélection rigoureuse de LEDs RGB sélectionnées pour leur homogénéité et leur durée de vie.

 

HYBRID SPACE

VERRES ACTIFS DÉDIÉS À L’ARCHITECTURE INTÉRIEURE

La gamme Hybrid Space se compose de solutions de verres actifs QUANTUM GLASSTM dédiées à l’architecture intérieure.

Parois hybrides transparentes, devenant surfaces éclairantes, lumineuses, chauffantes, supports d’image ou audio... Des solutions ver- rières innovantes qui offrent aux architectes et décorateurs la possibilité de travailler une multitude de scénarios d’aménagements dyna- miques au service d’une expérience spatiale inédite... Un seul objectif : améliorer les interactions entre les habitants et leurs espaces.

DIGITAL space

Hybrid DIGITAL space

Un verre de cloisonnement agissant comme un support multimédia intégré, DIGITAL space offre de nouvelles possibilités d’interaction entre l’usager et son espace intérieur. D’une simple animation d’ambiance à des contenus médias sophistiqués. Une infinité de scénarii peuvent être élaborés et programmés de façon à ce qu’instantanément la transparence du verre laisse place à des effets de lumières captivant. Les parois de verre deviennent des supports de création digitale permettant le changement d’ambiance et d’utilité d’un espace selon les besoins et désirs de ses habitants.

• Technologie présnetée : DMF 2.0 (Digital Media Facade 2.0)

Répondant aux normes standards des verres d’intérieur (isolation thermique et phonique...) la technologie DMF 2.0 est un double vitrage aux dimensions variables qui intègre une matrice de LEDs permettant de diffuser tout type de contenu numérique (vidéos, images, graphismes ...) sans occulter la vue. L’intégration de la matrice dans la paroi de verre présente une solution architecturale élégante.

*Technologie développée en partenariat avec la société Citiled.

 

PRIVACY space

Hybrid PRIVACY space

Des surfaces vitrées capables de gérer la transparence à la demande et de manière instantanée selon les besoins de l’utilisateur en termes d’isolement, de privatisation ou de confidentialité... sans altération de la transmission lumineuse.

Au delà de la simple suppression des stores ou autres systèmes mécaniques dans les cloisons vitrées, les solutions PRIVACY space de QUANTUM GLASS ouvrent de nouvelles possibilités dans la structuration dynamique de l’espace et les projets de scénographie interactive.

• Technologie présentée : PVL (PRiVA-LiTE)

La technologie PVL est un vitrage feuilleté qui intègre une matrice à cristaux liquides qui s’orientent en fonction d’une impulsion électrique et permet ainsi le passage instantanée d’un état clair à translucide et inversement. Connecté à un simple interrupteur ou à des détecteurs de présence il est ainsi possible de gérer la transparence du vitrage à la demande.

 

LIGHT space

Hybrid LIGHT space

Le verre devient source de lumière et d’ambiance. Non-éblouissante, blanche ou colorée, directe ou indirecte, la lumière apparaît dans la transparence du verre sous la forme de trames ou de motifs.

Au delà du potentiel graphique ou décoratif offert par les différentes solutions LIGHT space de QUANTUM GLASS, la lumière dépasse la notion de source (ampoule) pour intégrer la matière et offrir de nouvelles perspectives pour le cloisonnement intérieur, le parement mural ou le mobilier... La lumière devient une matière durable.

• Technologie présentée : LiG-C (LEDinGLASS Color)

La technologie LIG-C est un vitrage optique sérigraphié, équipé de LEDs sur la tranche. La lumière, diffusée dans l’épaisseur du vitrage, est restituée sur les 2 faces par une trame ou un motif personnalisable sérigraphié. L’efficacité de la technologie LIG-C est ainsi lié à la conjonction de 3 composantes : la qualité optique du verre, la composition de l’email sérigraphié et la sélection rigoureuse de LEDs RGB sélectionnées pour leur homogénéité et leur durée de vie.

 

HEAT space

Hybrid HEAT space

En paroi ou en panneaux, le verre devient source de chaleur dans les intérieurs. En panneaux transparents ou miroirs, le verre élimine les effets de condensation en salles de bain ou laisse visible la matière des murs. En paroi, la chaleur se fait surface architecturale transparente qui distille une chaleur rayonnante et douce qui peut être assimilée à celle dégagée par les rayons du soleil.

Tout en apportant l’efficacité, le confort et la sécurité sanitaire d’un chauffage radiant, les solutions HEAT space de QUANTUM GLASS offrent ainsi aux architectes et décorateurs un système de chauffage architectural intégré.

• Technologie présentée : THE (THERMOViT Elegance)

Composée d’une couche conductrice feuilletée invisible à l’œil, la technologie THE se présente sous la forme de panneaux de verre transparent de tailles standards qui distillent, sur les deux faces, une chaleur radiante. Au lieu d’assécher l’air (convecteur classique), le chauffage rayonnant se diffuse en ligne droite ce qui procure un confort de chaleur particulièrement agréable pour les personnes situées dans la pièce.

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 08:10

fenetre-pvc-alu-triple-vitrageUn label de référence pour la fabrication de fenêtres françaises … ‘’Label Fenêtre’’

Afin de renforcer la filière française pour la fabrication de fenêtres, le SNFA (Syndicat National de la Construction des Fenêtres, Façades et Activités Associées) et l’UFME (Union des Fabricants de Menuiseries Extérieures) se sont associés à cette volonté de créer ce nouveau label.

Valoriser la production française et permettre aux clients de connaître des indices de qualité et techniques claires et crédibles garantissant la qualification des produits qui leur sont proposés.

Le « Label Fenêtre » définira des critères sur les normes exigeantes à la fois sur les plans techniques, environnementaux et économiques et en garantira le respect.

Un label défini sur une démarche volontaire destiné aux seul fabricants français qui devrait évoluer et être le Label reconnu par tous s’agissant de la reconnaissance de la qualification des fenêtres. Ce label permettra de garantir le consommateur sur son choix et le modèle pour la pérennité de leurs travaux.

Renforcer la filière française et la promouvoir en raison du respect des normes exigées, fédérateur aussi, ce Label permettra aux fabricants de s’inscrire dans une volonté commune de qualité à la française.

« Nos adhérents ont montré un intérêt vif et immédiat dès que nous leur avons soumis ce projet, précise André Liébot  du SNFA. Ils comprennent bien qu'une meilleure lisibilité de l'offre constitue pour eux un avantage compétitif déterminant : tout ce qui va dans le sens d'une meilleure information du client est générateur de développement des ventes. Mais la distribution montre également beaucoup d'enthousiasme : et elle constituera un relai essentiel dans la réussite opérationnelle de ce lancement. »

Le lancement du  "LABEL FENÊTRE" sur le marché français s’établira en quatre étapes :

-       la création par le SNFA et l'UFME d'une entité spécifique,


-       la finalisation de la démarche de certification, actuellement en développement,


-       la mise en œuvre sur le plan industriel, en liaison avec les fabricants ayant satisfait aux normes du Label,


-       le lancement grand public de "LABEL FENÊTRE" grâce à un plan de communication ambitieux programmé pour le printemps 2012.

 

« Cette démarche n'avait pas pour finalité de recruter de nouveaux adhérents, et pourtant, nous recevons de nombreuses demandes émanant de fabricants qui ne nous avaient pas encore rejoints, se réjouit Jacky Benoist  de l'UFME ; n'est-ce pas la meilleure démonstration que nous sommes dans le vrai ? Nous structurons le marché, nous aidons les industriels français en prenant des initiatives offensives plutôt que défensives, nous communiquons directement avec le consommateur final... bref, nous faisons notre métier ! »

 

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3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 11:46

Planibel-Tri2.jpgPlanibel Tri, triple vitrage de nouvelle génération... Par AGC Glass

AGC Glass France qui sera présent au « 15ème salon de la prescription du bâtiment / 39ème Congrès de l’UNTEC – Nantes 18-20 mai 2011 » proposera une exposition de son offre de façade, une solution de verre peu émissif pour triple vitrage combinant à la fois une transmission lumineuse élevée et un haut facteur solaire réduisant les pertes de chaleur. Des propriétés isolantes qui contribuent à réduire la consommation énergétique tout en aidant des apports énergétiques.

 

Planibel Tri est une couche innovante spécialement conçue pour les assemblages en triple vitrage, Les assemblages triple vitrage réalisés par AGC dans ses filiales de transformation avec deux couches Planibel Tri portent la marque Thermobel Tri, dans les applications résidentielles. Outre le confort qu'elle procure, Planibel Tri respecte l’environnement et constitue une solution durable face à l’augmentation des prix de l’énergie.

Chauffage et conditionnement d’air représentent à eux seuls 70% de la consommation en énergie d’un bâtiment. C’est pourquoi, le secteur de la construction a un rôle important à jouer dans le processus d’efficacité énergétique.

Fort de son expertise en vitrages à isolation renforcée, AGC a développé le verre peu émissif Planibel Tri qui permet d’économiser jusqu’à 10%, les chiffres exacts dépendent du volume du bâtiment, de son orientation, de son degré d’isolation, de la région climatique et de la surface de vitrage, de la consommation annuelle d’énergie par rapport à des double ou triple vitrages classiques dans les applications résidentielles. Une solution nouvelle génération pour un investissement durable !

Planibel-Tri.jpg

Planibel Tri crée un climat optimal dans l’habitation et aide à contrôler les coûts énergétiques. Sa couche innovante apporte une économie réelle en comparaison à d’autres double ou triple vitrages disponibles sur le marché en associant deux éléments importants :

- sa valeur Ug, Coefficient de déperdition thermique, très performante peut atteindre jusqu’à 0,6 W/(m2.K) selon l’assemblage ;

- son facteur solaire, pourcentage total d’énergie solaire qui traverse le verre, élevé (63%) optimise l’énergie solaire naturelle qui traverse le verre.

Grâce à ses excellents résultats énergétiques, Planibel Tri ouvre une nouvelle voie en matière de vitrages dits à « basse émissivité » ou « à isolation renforcée » : la voie de la durabilité.

Avec un niveau de réflexion très bas et une transmission lumineuse élevée, Planibel Tri garantit également une grande quantité de lumière naturelle.

AGC Flat Glass Europe a récemment commandité deux vastes études destinées à mesurer les différences entre double et triple vitrages, et à évaluer leur degré d’efficacité énergétique sur le marché résidentiel. La première étude a été confiée à l’ift Rosenheim, l’un des instituts de certification les plus réputés d’Europe en matière de fenêtres et de façades de bâtiments, basé en Allemagne. La seconde a été réalisée sur la France par Tribu, un cabinet d’études et de conseil en environnement pour le bâtiment et l’urbanisme.

L’étude de l’ift rosenheim a révélé que l’installation de Planibel Tri dans une nouvelle construction permettait de réduire la consommation énergétique de près de 1500 kWh par an, par rapport au vitrage Planibel Top n+. qui plus est, l’utilisation de            0 Planibel Tri en rénovation représente une économie de près de nouvelle construction (Allemagne)

5000 kWh par an, par rapport au Planibel clear. Planibel Tri respecte l’environnement, mais il vous fera aussi économiser de l’énergie et de l’argent

L’étude de l’institut TriBu a porté sur 4 types de verres dans 3 modèles de construction. Une maison rénovée, une nouvelle maison ‘rT 2005’ (construction neuve – ou extension de construction – respectant un bilan énergétique donné minimum) et une maison bioclimatique ‘rT 2010’ (construction neuve impliquant le respect d’un bilan énergétique plus exigeant, type ‘maison BBc’ ou ‘bâtiment basse consommation’). L’efficacité énergétique a été testée dans trois régions climatiques françaises (nord, centre, sud de la france). L’étude a révélé que la nouvelle génération du triple vitrage comme le Planibel Tri est la solution la plus efficace pour tous les types de constructions. il permet des économies d’énergie de 3 à 12% selon la région étudiée.

Planibel-Tri1.jpg

Les résultats des deux études concordent, Glass for Europe, fédération européenne des producteurs de verre, a mené une étude similaire avec le bureau d’études TNO, qui confirme la valeur ajoutée représentée par le triple vitrage à facteur solaire élevé (résultats 1er trimestre 2009), et confirment que l’installation de triple vitrage de nouvelle génération avec deux couches Planibel Tri est la solution énergétique la plus efficace quel que soit le type d’habitation ou de région climatique en Europe du Nord :

- par rapport à un double ou triple vitrage classique, les triples vitrages avec deux couches Planibel Tri permettent de réduire la consommation de chauffage de près de 10% ;

- les économies potentielles à réaliser grâce à Planibel Tri sont les plus importantes, avec un gain notable par rapport aux double vitrages de type 1.0.

Au-delà du coefficient Ug, ce sont les apports énergétiques gratuits qui déterminent réellement l’impact environnemental des différents vitrages.  Le facteur solaire du Planibel Tri peut atteindre 63% selon l’assemblage. Les autres solutions à facteur Ug performants ont des facteurs solaires bas et ne permettent donc pas de bénéficier pleinement de ces gains énergétiques naturels.

Ainsi, l’utilisation de  Planibel Tri garantit respect de la  planète et économies d’énergie !

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 09:17

fenetre-pvc-alu-triple-vitrage.jpegLes menuiseries, facteurs d'énergies....

Alors que s’ouvre aujourd’hui, le salon de la baie voir article « « équipbaie-métalexpo » du 16 au 19 novembre 10- Portes de Versailles (75) - Le salon des nouvelles tendances de la baie et du métal », l’industrie de la baie représente un enjeu crucial face aux critères économiques et surtout énergétiques pour les années à venir.

La tendance économique des menuiseries représente, selon une enquête du ministère de l’industrie, le deuxième poste de dépense du second œuvre juste après l’appareillage électrique, soit 4,750 milliards d’euros facturés.

Par ailleurs, après le regroupement des industriels bois et PVC formant ainsi l’Union des fabricants de menuiseries extérieures, et le rapprochement sensible des fabricants de menuiserie aluminium vers les fenêtres, vitrages, fermetures et protection solaire renforcent le secteur pour des défis à relever face aux enjeux énergétiques notamment à travers la RT 2012.

Les menuiseries, longtemps considérées comme étant source de déperditions, représentent des atouts majeures notamment énergétiques autant sur le gain d’apport solaire et de chaleur, grâce aux performances thermiques.

Depuis 2000, le marché du secteur n’a pas cessé de croître avec une moyenne oscillant entre 4 et 8 % par année, hors en 2008, selon une étude (Batiétude) parue en 2009, l’année 2008 a connu une nette régression, la croissance étant passée à 1,1 %. Faisant la part belle au châssis PVC avec près de 63 % de part de marché contre 13,7 % pour les menuiseries bois, alors qu’en 2000 celle-ci était à 20 % et l’aluminium continuant une lente progression pour 9 % en terme d’unité représentant sur ce marché près de 21 % et 34 % en chiffres d’affaires. Les menuiseries mixtes quant à elles représentent près de 3 % et les châssis métallique, encore présents ne représentent que 0,2 %.

Les menuiseries n’ont donc cessé de progresser au niveau du marché depuis 2000 même si celui-ci a plutôt tendance à se stabiliser, les menuiseries n’ont pas non plus cessé d’améliorer leurs performances thermiques et technologiques, de plus en plus haut de gamme, et des vitrages de plus en plus épais ont favorisé le renforcement des performances.

Le triple vitrage, très peu développé avant 2008, représente 2 % du marché et tend à croître dans les années à venir. Malgré quelques réticences à usiner des châssis à trois vitrages pour des craintes se justifiant sur la perte d’apports solaires, le secteur industriel du vitrage s'est particulièrement penché sur cette notion, notamment à la réalisation de verre à couche permettant à une fenêtre triple vitrage de laisser passer autant de lumière et de chaleur solaire qu'un double vitrage ITR ordinaire. L'unification d'équipement de ventilation dans les menuiseries peut être une exigence en rénovation (suivant la RT « existant »), d'où certains équipements compacts (Gimm associe un caisson double flux et une fenêtre).

Outre le châssis à proprement dit, les équipements pour la protection solaire, tels que stores intérieurs, extérieurs, protection solaire intégrée à la baie et de la fermeture : volets, persiennes proposent une grande quantité de matériaux et de produits ainsi que des possibilités techniques. Ces équipements jouent un rôle prépondérant dans le facteur thermique et pouvant contribuer à 25 % dans la performance thermique d’une baie en hiver, notamment par leur résistance thermique et la qualité de l’étanchéité à l’air. En été, les protections solaires contribuent à la baisse des charges de climatisation améliorant sensiblement le confort thermique d’été, notamment par un store réfléchissant ou des équipements proposant des systèmes d'automatisation et de motorisation pour un meilleur rendement à travers l’asservissement des fermetures à des capteurs mesurant le vent ou l'éclairement.

Par ailleurs, le secteur tertiaire bénéficie aussi des avancées technologiques où généralement les immeubles de grandes hauteurs ne disposant que de petites surfaces en terrasse n’étant pas propice à une installation d’équipement d’énergies renouvelables demandant une surface bien plus grande, l’intégration de composants actifs ou de capteurs solaires dans les parties vitrées des façades nécessaires pour faire baisser les consommations d’énergies. La communauté européenne vient ainsi de lancer un important programme de recherche baptisé Cost-effectiv sur ce thème. La façade devient décidément un secteur très high-tech, où il est question de « films nano-structurés », de matériaux à changement de phase.

L’avancée technologique sur les verres mais aussi à l’étanchéité à l’air avec des joints de conception de façades et de calfeutrement de plus en plus élaborée, notamment du verre extérieur collé, les vitrages ultra-performants, isolant, autonettoyant, à protection solaire intégrée, etc. suscite une vigilance particulière quant à la réalisation et la pose du châssis de la part des professionnels face à la problématique de l’étanchéité à l’air, sachant qu’un tiers des défauts de l'enveloppe se situe dans la liaison entre le dormant et la structure.

En terme de quincaillerie, de ferrure et de serrurerie, leurs progressions dépendent principalement de l'évolution des ouvertures. Les battants de fenêtres fortement isolées deviennent plus lourds (triple vitrage.), ce qui exige une plus grande résistance mécanique. A ceci s'additionne des contraintes esthétiques : le goût architectural pour des cadres très étroits valorise l'emploi de ferrures escomotables ou invisibles. Esthétique minimaliste dans laquelle s'illustrent à Batimat les fabricants allemand (par exemple Karcher Design) ou suisse (Sky Frame).

Enfin, le thème de l'accessibilité des personnes à mobilité réduite, suscite la conception de produits très techniques dans le domaine des poignées de portes (ergonomie, éclairage intégré) à l'usage des collectivités.

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 17:00

Saint-GobainSaint-Gobain prend part aux Verres electrochromes-----

Prenant part dans le capital de la société SAGE Electrochromics à hauteur de 50 %, Saint-Gobain investi stratégiquement pour le développement de verre électrochrome et plus particulièrement du verre « SAGEGLASS® » dont les propriétés représentent l’avenir du verre, ses caractéristiques sont multiples, il devient complètement transparent ou s’obscurcit afin de se protéger des rayons du soleil ou obtenir de l’intimité. Plus de lumière et d’ouverture vers l’extérieur ou recherche d’une ambiance feutrée, tout en restant toujours transparent le verre électrochrome permet d’ajuster le niveau de luminosité et donc de chaleur entrant dans une pièce. En réglant la luminosité de ce verre à n’importe quelle intensité comprise entre 4% et 40%, la transmission d’énergie varie entre 2% et 20%, ce qui constitue une excellente réponse aux températures élevées. « Il réduit donc considérablement la quantité d'énergie consommée pour la climatisation, le chauffage et l'éclairage.
». Il offre aux architectes une alternative esthétique et efficace aux stores mécaniques et pare-soleils qui dominent actuellement le marché.

Par ailleurs, 

Saint-Gobain Glass et SAGE construiront la première usine de production de masse de verre électrochrome à Faribault, dans le Minnesota aux Etats-Unis. Lancé en novembre 2010, le projet, d'un montant estimé à 135 millions de dollars aura une capacité annuelle de production de plus de 370 000 m² de vitrages électrochromes dont les dimensions pourront atteindre 1,5 x 3,5m, taille "très supérieure" à ce qui est actuellement disponible. 

« Jusqu'à présent, le verre électrochrome était un produit de niche au déploiement limité en raison de son coût et des défis liés à sa fabrication. Ce partenariat entraînera des économies d'échelle et rendra possible l'avènement d'une nouvelle génération de fenêtres haute performance à la fois respectueuses de l'environnement et compétitives », affirme John Van Dine, Président-Directeur Général de SAGE. « En associant les atouts et le potentiel des deux principaux acteurs de l'électrochrome au monde, et en nous appuyant sur l'expérience verrière de Saint-Gobain, nous sommes en mesure d'offrir un produit de qualité, durable, à 50 % du prix des solutions de ce type actuellement commercialisées. Cette alliance va considérablement accélérer l'adoption de cette technologie amenée à révolutionner le marché des bâtiments commerciaux et résidentiels. »

L'usine devrait démarrer sa production à partir de mi-2012. Saint Gobain et Sage affirment que ce vitrage innovant sera commercialisé à un prix abordable.

Aujourd’hui, fortes de plus de 100 brevets déposés et de 40 ans d’expérience de recherche combinés, les deux sociétés conçoivent les verres électrochromes les plus reconnus du marché.

« Ce rapprochement marque les prémices d’une nouvelle révolution de l’industrie du verre pour l’habitat », se félicite Jean-Pierre Floris, directeur général adjoint de la Compagnie de Saint-Gobain et directeur du Pôle Matériaux Innovants. Grâce au partenariat entre Saint-Gobain et SAGE, nous proposons un vitrage électrochrome de pointe, respectueux de l’environnement et abordable. SAGE et Saint-Gobain, dont les noms sont associés à certains des édifices les plus prestigieux, fourniront à l’échelle mondiale le vitrage électrochrome le plus performant du marché, à travers les réseaux de distribution certifiés de SAGE et de QUANTUM GLASSTM. »

SAGE restera une société indépendante et continuera à commercialiser en Amérique du Nord ses produits SageGlass® qui équipent déjà des centaines de bâtiments commerciaux, institutionnels et résidentiels haut de gamme. Saint-Gobain distribuera les applications SageGlass® sous la marque QUANTUM GLASSTM en Europe. En s’appuyant sur les partenariats de distribution de Saint-Gobain, les deux sociétés définiront une stratégie de marketing commune pour l’Asie et le reste du monde.

Deux membres de l’équipe de direction de Saint-Gobain – Jean-Pierre Floris, directeur général adjoint de la Compagnie de Saint-Gobain et directeur du Pôle Matériaux Innovants, et Francois-Xavier Moser, directeur général de Saint-Gobain Glass Solutions – rejoindront le conseil d’administration de SAGE, où seront également présents deux représentants des actionnaires actuels, ainsi que deux administrateurs indépendants.

Cette alliance stratégique ouvre de nouvelles perspectives à l’architecture et au design, en offrant des solutions verrières créatives, abordables et grand public, pour concevoir des bâtiments confortables, esthétiques, économes en énergie et respectueux de l’environnement.

Verre_electrochrome.jpg

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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 09:32

Saint-Gobain.jpgSAINT-GOBAIN : INAUGURATION DE LA PLUS GRANDE UNITE DE PRODUCTION DE VERRE, AU MOYEN-ORIENT

Saint-Gobain, le groupe français de matériaux de construction Saint-Gobain a inauguré, le mercredi 3 novembre, la plus grande usine de verre plat au Moyen-Orient. Située les rives de la mer Rouge, à Ain el Sokhna exactement, à 120 kilomètres à l’est du Caire et à 40 kilomètres au sud de Suez, cette unité a débuté sa production en juillet 2010 après 28 mois de travaux.

Cet investissement, engagé sous l’égide de Saint-Gobain Glass Egypt, société commune entre Saint-Gobain Glass, actionnaire majoritaire (51 %), et trois autres partenaires : la compagnie égyptienne MMID (Mansour-Maghraby Investment and Development) associée à M. Ali Moussa (34 %), et Şişecam (15%), est le plus important jamais engagé par Saint- Gobain dans cette région du monde. Un investissement qui se dresse à 130 millions d’euros.

Le fort développement des pays émergents, notamment l’Egypte, 10 % de croissance dans le secteur de l’automobile et du bâtiment, a conduit tout naturellement Saint-Gobain à s’implanter sur le marché égyptien. L’unité de production étendue sur une superficie de 75 hectares disposera d’une capacité de production de 900 tonnes / jour, la moitié de la production (200.000 tonnes par an) de cette usine servira le marché égyptien du verre plat, l’autre moitié de sa production sera destinée à l’exportation, principalement vers le Moyen-Orient (Liban, Syrie, Jordanie) et l’Afrique. Cette ligne de float d’Ain el Sokhn à la pointe des meilleures technologies à partir duquel Saint-Gobain entend prendre une position de leader sur le marché égyptien sera la plus grande du Moyen-Orient.

Avec cette usine float, qui est la première de Saint-Gobain dans la région, entend franchir une nouvelle phase additionnelle dans sa politique de développement en pays émergents. Le pôle Vitrage estime réaliser 46 % de son chiffre d’affaires à l’horizon 2015, contre 40 % en 2010, et anticipera un effort important dans l’investissement industriel pour les cinq ans à venir à hauteur de 75 %. « Les trois quarts de nos investissements dans le vitrage (environ 350 millions par an) dans les cinq prochaines années auront lieu dans les pays émergents », a indiqué M. de Chalendar, PDG de Saint-Gobain.

 

Cette unité est « la traduction concrète de notre volonté de nous développer plus vite dans les pays émergents », a affirmé Pierre-André de Chalendar. « Notre avenir, je le vois de plus en plus dans les pays émergents. Nos perspectives de croissance y sont considérables », a t-il souligné.

Le groupe français, numéro 2 mondial du vitrage derrière le japonais Asahi, a, en plus de ses 35 usines actuelles de verre plat dans le monde, quatre autres établissements en construction, tous dans des pays émergents, en Inde, au Brésil, en Colombie et en Russie, où il est associé avec le turc Sisecam dans le Tatarstan.

Saint-Gobain1.jpg 

COMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Gobain :

« 1/ LE FLOAT D’AIN EL SOKHNA

La ligne float d’Ain el Sokhna est une pièce maîtresse du dispositif industriel de Saint-

Gobain dans cette région du monde.

La 35ème usine de production de verre plat pour Saint-Gobain Glass, sa première au Moyen- Orient.

Une capacité journalière de 900 tonnes qui en fait le premier float de la région.

Un investissement de 130 millions d’euros, le plus important de Saint-Gobain dans cette région du monde.

Un équipement industriel à la pointe des meilleures technologies mondiales.

Une situation d’exception

-            Ain el Sokhna est situé à 120 kilomètres à l’est du Caire, et à 40 kilomètres au sud de Suez, au bord de la mer Rouge.

-            Au cœur d’une importante zone industrielle, bénéficiant de très bonnes infrastructures routières et bien connectée aux réseaux égyptiens de gaz naturel et d’électricité.

-            Une matière première d’une grande pureté : le sable du désert égyptien.

Le couronnement de 28 mois de travaux

-                  28 mois de travaux : commencés en mars 2008 pour le terrassement, en juillet 2008 pour le génie civil.

-            2 000 personnes mobilisées. -            Aucun accident majeur déploré pendant la construction, qui s’est déroulée dans le respect des

règles d’environnement, d’hygiène et de sécurité.

Un engagement fort dans la région

-            300 personnes recrutées en deux ans, dont 80% dans la région de Suez. -            Un effort significatif en termes de formation : la majorité des salariés (ingénieurs, techniciens, ouvriers) se sont formés dans les usines de Saint-Gobain Glass, en France, en Roumanie, en

Inde, en Angleterre et au Brésil.

Les standards d’excellence industrielle du Groupe

-            Le float d’Ain el Sokhna adopte les méthodes d’excellence industrielle que le Groupe applique partout dans le monde.

-            Il respecte les mêmes standards que les autres sites en termes de qualité et de sécurité.

2/ LE LEADERSHIP SUR LE MARCHE EGYPTIEN

Avec la ligne float d’Ain el Sokhna, Saint-Gobain Glass Egypt vise le leadership sur le marché du verre plat égyptien et un ancrage fort au Moyen-Orient et en Afrique.

Une large gamme qui comprend : -            Le verre clair SGG PLANILUX destiné à plusieurs applications (miroirs, bâtiment, automobile). -            Des verres teintés SGG PARSOL pour le bâtiment. - Du verre réfléchissant SGG REFLECTASOL de contrôle solaire pour les applications

architecturales et l’électroménager (portes de four).

... Pour répondre à la demande du marché égyptien ...

-            La demande de verre plat croît en Egypte de 10 % par an, comme le marché du bâtiment, tiré principalement par la construction.

-            Trois débouchés principaux : le bâtiment (80%) avec une part prépondérante pour le secteur résidentiel ; l’automobile (10%) et l’électroménager, principalement les portes de four (10%).

... Et pour l’exportation. -            La fabrication de la ligne d’Ain el Sokhna est destinée, pour moitié, à l’exportation : pays du

Moyen-Orient (Liban, Syrie, Jordanie, etc.) et Afrique. -            Saint-Gobain Glass Egypt s’appuie sur les réseaux exports de Saint-Gobain et de Sisecam.

 

3/ UN INVESTISSEMENT AU CŒUR DE LA STRATEGIE DE LACTIVITE VITRAGE

Avec le float d’Ain el Sokhna, l’activité Vitrage de Saint-Gobain franchit un pas supplémentaire dans sa stratégie de croissance en pays émergents.

Une contribution qui ne cesse d’augmenter

-            Chiffre d’affaires du Vitrage en 2009 : 4 572 millions d’euros -            Chiffre d’affaires du Vitrage au premier semestre 2010 : 2 537 millions d’euros

Chiffre d’affaires du Vitrage en pays émergents : 40 % en 2010 46 % en 2015

-            Investissements industriels du Vitrage en 2009 : 339 millions d’euros 􏰀 Investissements industriels du Vitrage en pays émergents (2010-2015) : 75%

-            Effectifs du Vitrage en 2009 : plus de 33 600 salariés 􏰀 Effectifs du Vitrage en pays émergents : 42% en 2010 45% en 2015

Un maillage qui, au fil du temps, se complète »

 

A propos de Saint-GobainSaint-Gobain, leader mondial sur les marchés de l'habitat, conçoit, produit et distribue des matériaux de construction en apportant des solutions innovantes sur les marchés en croissance des pays émergents, de l’efficacité énergétique et de l’environnement. Avec un chiffre d'affaires de 37,8 milliards d'euros en 2009, Saint-Gobain est présent dans 64 pays et compte plus de 190 000 salariés.

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Published by Lucvieri - dans Verre
7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 19:35

SUNEWATT-AGC.jpgLe salon Equipbaie qui se déroulera du 16 au 19 novembre 2010, à la Porte de Versailles à Paris, présentera à cette occasion les nominés au Concours de la Performance 2010. Notamment une présentation d’AGC Glass France, spécialiste du verre architectural et sa nouvelle création :

AGC France SAS, filiale du leader verrier européen AGC Glass Europe, a repris le groupe familial David, composé des sociétés David Miroiterie Caen et David Services. L’opération de ce rachat étant désormais sous l’appellation « AGC David Miroiterie ». Cette PME emploie 49 personnes et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 6,5 millions € en 2009. Elle dispose d’un outil de production moderne et adapté à la demande actuelle pour des produits à haute performance énergétique. Poursuivant ainsi ses activités de transformation et façonnage du verre et la réalisation de double vitrage. La PME profite de très bonne image nationale et permettra à AGC d’accroître son développement « Le rattachement de notre groupe familial à un leader verrier comme AGC Glass Europe s’est imposé à nos yeux comme le meilleur gage de développement et de pérennité de nos activités » a déclaré Louis David, Président du groupe David. Et AGC de répondre « Nous sommes effectivement dans une stratégie de développement, et restons à l'écoute du marché » a expliqué Jean-Luc Batkin, directeur de la division "Produits transformés" de AGC Glass Europe. Par ailleurs le groupe s’est attaché les services d’une société polonaise spécialiste du vitrage bombé.

La présentation d’un nouveau produit d’AGC France, en créant une société en joint venture avec la collaboration Tenesol, opérateur majeur de l'énergie solaire, filiale des groupes Total et EDF. « Cette création répond à une demande de nos clients architectes, qui souhaitaient voir naître un produit intégrant le photovoltaïque à la façade, pour pouvoir eux-mêmes répondre à la demande de leurs clients maîtres d'ouvrage » a expliqué Nelly Philipponnat, directrice marketing de AGC France.

Il s’agit d’un nouveau verre feuilleté intégrant des cellules photovoltaïques polycristallines dont la production devrait débuter en janvier 2011 et sa commercialisation devrait suivre exclusivement par les réseaux de Tenesol et d’AGC. Le produit pour ces façades rideaux présenter donc au salon Equipbaie est le SUNEWAT.

Il se compose de modules interconnectés, qui forment un système photovoltaïque complet BIPV (Builging Integrated Photovoltaics), entièrement intégré au bâtiment, en lieu et place des produits verriers traditionnels.           

Les cellules sont assemblées entre feuilles de verre trempé HST. Si le verre extérieur est généralement en verre extra-clair afin de maximiser la production d’électricité, la face arrière offre, quant à elle, de nombreuses possibilités de finitions (verre clair, extra-clair, coloré, sérigraphié...), permettant d’associer les différentes fonctions du verre (isolation, contrôle solaire, décoration...). Le positionnement des cellules et le dimensionnement des modules sur mesure jusqu’à 4 mètres de longueur offrent une grande liberté de conception. La possibilité d’assemblage en double vitrage pour isolation thermique. L’espacement des cellules étudié selon la transmission lumineuse désirée. Les modules pouvant associer également le contrôle solaire ou la sécurité du bâtiment. « Ce produit, qui a vocation à être installé en façade ou en verrière, notamment, sera présenté sur Equipbaie pour que les architectes se l'approprient et s'amusent avec » a expliqué Nelly Philipponnat.

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Published by Lucvieri - dans Verre
8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 11:57

reflet.jpgLe verre, matériau omniprésent des mégalopoles et incontournable de l’architecture contemporaine et grâce aux avancées technologiques et l'avènement des nanotechnologies en la matière permettent au verre de prendre une place considérable dans l’éventail de la construction du bâtiment et des travaux publics. Toutefois, il est un paramètre qui a été minimisé ou ignoré, celui de l’impact de ces ouvrages de verre sur les espèces volatiles.

En effet, la migration des oiseaux est attirée par les puits de lumière artificielle provoqués par les grandes métropoles distinctement éclairées par leurs gratte-ciels causant la mortalité importante d’espèces volatiles en se heurtant sur les parois vitrées. Ce problème récurrent préoccupe sérieusement les autorités outre-manche.

Une enquête d’un chercheur américain, dans les années 1980, Daniel Klem Jr., professeur d’ornithologie et étudie notamment le comportement des animaux, la conservation, l'écologie, l'évolution, l'ornithologie et l'histoire naturelle des animaux; une attention particulière pour les vertébrés, les statistiques, et la mortalité de la faune résultant de l'action de l'homme, a évalué le taux de mortalité par rapport au nombre de collision sur un an. Il a établi que la moyenne sur un an  pour un bâtiment, la probabilité d’un à dix le nombre de chocs. Ce constat résulte à environ de 100 millions à 1 milliard de décès d’oiseaux chaque année, outre manche. L’enquête révèle aussi qu’après un choc le volatile s’envolera mais ne résistera que très peu de temps et succombera peu après.

Cette étude a permis de mettre en « lumière » toutes les prérogatives concernant la protection des espèces volatiles à travers l’architecture moderne, notamment du rayonnement des ondes lumineuses et leurs réfractions dans le paysage urbain. De nombreuses démarches ont été initiées par les organismes scientifiques et ornithologiques pour sensibiliser les acteurs de la construction, notamment les bureaux d’études, les architectes. Toronto et New York ont particulièrement édité des prescriptions sur les conceptions d’édifices n’altérant pas les migrations des espèces volatiles.

Le verre, par les rayonnements d’UV, agit sur le parcours migratoire de l’oiseau. L’acuité visuelle d’un volatile ne distingue pas les parois comme barrage. Malgré une aire visuelle particulièrement développée, elle ne permet pas de différencier les reliefs des ondes lumineuses transmises par le verre. Certaines espèces ont su s’adapter aux angles de lumières artificielles, pigeons, merles, mésanges,… mais les grandes espèces migratoires n’ont pas eu la circonstance d’adaptation visuelle.

Dans notre vieux continent, des recherches ornithologiques, notamment à Sempach en Suisse, ont montré que les rayons UV étaient perçus par les espèces volatiles. La Station ornithologique suisse de Sempach étudie en collaboration avec des industriels du verre des verres absorbant les ondes UV.

La recherche a montré que comme un certain nombre d’espèces animales, les volatiles migrateurs sont captivés par la lumière notamment pendant leurs vols de nuit et plus particulièrement quant les conditions météorologiques ne sont pas favorables. Les réflexions des ondes lumineuses artificielles pendant un vol migratoire perturbent considérablement l’acuité visuelle de l’oiseau. Les zones à fortes activités nuageuses renvoient les ondes lumineuses artificielles et bouleverse le sens de l’orientation du volatile, captivé par le plafond lumineux terrestre et s’y trouvé emprisonné.

Quelques mesures ont été initiées pour limiter le rayonnement et l’éclairage en ajustant la diffusion des ondes lumineuses vers le sol et sur des axes limités comme route, places. A Lyon, à Zurich, des plans d’action ont été engagés, à travers le Plan Lumière.

Afin d’éviter les impacts, l’ASPAS, Association protectrice des animaux sauvages, a éditié un « guide d’actions contre les collisions ». Il permet d’établir un inventaire équilibré d’actions sur la protection des oiseaux, à travers l’utilisation du verre. L’une des prérogatives est de produire des surfaces vitrées transparentes perceptibles colorées ou marquées. L’autre serait la production de verres convexes, concaves ou inclinés, au contraire de surfaces plates. L’utilisation de verres dépolis plutôt que des verres claires, d’orner ces surfaces aux moyens de bris de soleil, d’espèces végétales, stores extérieures.

 

 

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Published by Lucvieri - dans Verre
26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 13:30

bel-m-portes-et-fenetres-2497_546x282.jpgAlors que l’étiquetage énergétique doit entrée en vigueur à partir de juillet 2011 concernant les produits ne consommant pas d’énergie et ayant une « incidence directe » sur les économies d’énergie.

Cette directive  du Parlement Européen et du Conseil, référencée 2010/30/UE rendra obligatoire l’étiquetage environnemental sur ces produits, les vitrages, les menuiseries, les portes extérieures, notamment devront être étiquetées à partir du mois de juillet 2011.

Un fabricant de menuiserie, Bel’M, basé à Machecoul en Loire-Atlantique (44), s’est résolu à mettre en œuvre cette initiative à partir de ses nouveaux modèles. L’étiquetage environnemental seront présents sur toutes les menuiseries Bel’M.

Les menuiseries sont évaluées selon huit principes adaptés aux nécessités du secteur : Selon la ressource et son origine, sa consommation d’énergie, du réchauffement climatique global, de la toxicité, de l’affaiblissement acoustique, de l’étanchéité à l’air et du potentiel recyclable. Une note environnementale est donnée, trois indices sur le cycle de vie font mention, en matière de la fabrication, l’usage, et sa fin de vie.

Il aura fallu deux ans d’étude à l’industriel pour mettre en œuvre le processus  d’étiquetage, en s’appuyant notamment sur les revues sur les analyses de cycle de vie du CSTB, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment. « La connaissance de l'impact de nos produits, nous permet d'améliorer constamment leurs performances environnementale » explique Emilie Bouchez, responsable R&D/Eco-conception chez Bel’M.

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Published by Lucvieri - dans Verre
28 mai 2010 5 28 /05 /mai /2010 15:44

huf-haus-art-9-night.jpgVoir la vie en verre, façon de vivre en osmose avec la nature, la lumière et son environnement, la créativité des architectes ouvre la voie à des projets d'habitat tout à fait étonnant. Des maisons en verre !!

Une habitation en verre offre la sensation de communion entre la frontière du monde extérieur et celui de l'intérieur, vivre au côté de la nature ou de son environnement.

La création et cette volonté d'ouvrir les espaces intérieurs laissent des perspectives de rayonnement, de lumière, se recomposant sans cesse selon l'orientation du soleil et aux variations des saisons.

Les espaces de vie commune sont généralement constitués de parois intérieures en pan de mur en verre, avec parfois des planchers en verre créant une sensation de vide, n'entravent pas la circulation de la lumière extérieure, laissant un sentiment total de liberté. Les parois de verre sont constitués de structures métalliques, en aluminium ou de bois composant l'ossature même de l'ensemble de l'habitat. Outre ces ossatures répondent aux préoccupations environnementales puisqu'il est recyclable à l'infini.

La décoration intérieure peut être simple et minimaliste puisque elle sera investie par les perspectives environnantes du cadre extérieur. Chaques meubles localiseront la pièce à vivre. Le paysage extérieur se contente d'être un tableau ornant la chaleur intérieure de la pièce et varie au gré des saisons.

La problématique du chaud, du froid, du vis-à-vis, de la lumière, généralisent les contraintes d'une maison en verre, et pour qu'elle soit cohérente avec un extérieur intime et de proximité, le verre doit être asservis selon les latitudes, l'exposition, de jouer avec les reflets et les ombres protégeant ainsi des regards avoisinants.

Les avancées technologiques et l'avènement des nanotechnologies en la matière permettent au verre de résister aux variations de températures brutales. Selon la région où l'on se trouve , un simple, double où voir triple vitrage résoudront la condition thermique. 

 

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Published by habitat-durable.over-blog.com - dans Verre
13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 21:25

veranda-orientation-construction.jpgUn confort permanent toute l'année.

Trés froid en hiver, trés chaud en été, voici les thèmes lorsque l'on évoque les vérandas en verre. Les structures de vérandas d'aujourd'hui tirent profit des nouvelles technologies en matière d'isolation thermique, notamment sur les profilés, les vitrages super isolant, et leurs ventilations contrôlées, permettant d'en profiter en toute saison.

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Published by habitat-durable.over-blog.com - dans Verre
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